En ouvrant le manuscrit de Louison Beaugniet, j’ai pensé ceci : « un roman n’est peut-être rien d’autre qu’une suite de possibilités choisies et mises en ordre pour raconter une histoire, et qu’elle soit vraie ou fausse importe peu, mais qu’une seule de ces possibilités se transforme en certitude, et tout peut basculer… ». Hier j’ai relu la dernière phrase de son livre, et la pire des possibilités qu’il contenait est devenue une certitude écrasante.
Il se chuchote des histoiresQuand on écoute les feuillesLorsque le vent bousculeL'air de nos chansonsOn voit la lumière dans les yeuxEt les notes qui s'envolentIl se raconte des facétiesDu matin jusqu'au miroirPortés par les flotsLes sourires arrivent vers…