En ouvrant le manuscrit de Louison Beaugniet, j’ai pensé ceci : « un roman n’est peut-être rien d’autre qu’une suite de possibilités choisies et mises en ordre pour raconter une histoire, et qu’elle soit vraie ou fausse importe peu, mais qu’une seule de ces possibilités se transforme en certitude, et tout peut basculer… ». Hier j’ai relu la dernière phrase de son livre, et la pire des possibilités qu’il contenait est devenue une certitude écrasante.
José Moinaut présente une série de petites histoires dont les chats sont les héros. Des animaux plus humains que les hommes donnent de belles leçons de morale et de solidarité…
La nouvelle est décidément un genre littéraire qui se prête particulièrement à l’inventaire…