En ouvrant le manuscrit de Louison Beaugniet, j’ai pensé ceci : « un roman n’est peut-être rien d’autre qu’une suite de possibilités choisies et mises en ordre pour raconter une histoire, et qu’elle soit vraie ou fausse importe peu, mais qu’une seule de ces possibilités se transforme en certitude, et tout peut basculer… ». Hier j’ai relu la dernière phrase de son livre, et la pire des possibilités qu’il contenait est devenue une certitude écrasante.
Au petit matin, un corps est retrouvé le long des étangs des Pêcheries, à Watermael-Boitsfort. Ses…
La gondole de l'Orient Express
Dans certaines vies, il suffit d'un moment, d'une rencontre, pour que tout…