« Les horreurs, qu’elles soient d’hier ou d’aujourd’hui, nous atteignent tous à des degrés différents. Chacun se débrouille avec ce qu’il vit, ce qu’il ressent, ce qu’il endure, ce qu’il espère. » Voilà le postulat posé par Jacqueline Calembert dans son avant-propos, hommage à son père et à la capacité de résilience de celui-ci. Et c’est une illustration en mots qu’elle nous propose dans La nuit du manuscrit, histoire d’une rencontre à la fois fortuite et prédestinée de deux âmes agitées.Lors d’une nuit de novembre balayée par les intempéries, Michèle Larivier sort de chez elle, en trombe, sans intention autre que « braver le vent, entendre grincer les branches, être frappée par les feuilles…
Un homme ne supporte plus sa vie « officielle ». Il aspire à devenir invisible, à…
Bernard Gheur est décidément l’écrivain belge de la nostalgie heureuse. On retrouve…