Jacques Nergal, un photographe de presse sexagénaire, accompagne au Mali les membres d’une ONG chargée de construire une école pour les enfants des ouvriers au service d’une société minière. Le narrateur n’est pas dupe des intentions soi-disant philanthropiques de cette multinationale aurifère qui exploite à outrance une population fragilisée. Il noue des contacts amicaux avec les autochtones et déplore la mortelle dégradation de l’environnement.Un…
Auteur de La nuit du komo
«Depuis la révolution verte, les jouisseurs et les hédonistes sont emmenés, sous…