La nuit de la Saint -Sylvain




À PROPOS DE L'AUTEUR
Madeleine Ley
Auteur de La nuit de la Saint -Sylvain
Madeleine Ley naît à Anvers en 1901, mais bientôt elle va habiter Uccle car son père, médecin psychiatre, est nommé professeur à l'Université libre de Bruxelles. Selon les options progressistes de sa famille (son père est l'ami de Vandervelde et un correspondant de Freud), Madeleine Ley fait ses études secondaires à l'école Decroly. A vingt ans, elle épouse le docteur Lucien Wybauw. En 1929, celui-ci, malade, emmène sa femme et son fils (né en 1925) dans le Valais pour un long séjour de santé. Là, Madeleine Ley se découvre une grande passion pour la montagne. Peu après, son premier livre Petites voix est édité à Paris chez Stock. En 1933, elle séjourne à nouveau dans le Valais (qu'elle appelle «le pays de Dieu»), puis en Pologne. De plus en plus, elle écrit, noue maintes relations avec des écrivains (tels Colette, Gevers, Gide, Ramuz, Martin du Gard, Hellens...) et participe activement à la vie littéraire de son époque (entre autres aux Décades de Pontigny). En septembre 1936, son roman Olivia est publié par la N.R.F. Trois ans plus tard, Madeleine Ley reçoit le Prix Rossel pour un recueil inédit de nouvelles. Mais sa santé mentale, déjà fragile depuis quelques années, s'altère encore durant la guerre. Des soins psychiatriques lui sont désormais nécessaires. Madeleine Ley pose alors sa plume pour toujours. Elle mourra en 1981.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "La nuit de la Saint -Sylvain"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Robert

J'ai deux très grandes oreilles. Deux yeux, très, très méchants. Des dents, très, très, très…

On parlera dans le vide

(*)qu'importent nos motsils roulent pêle-mêledans le grondement des lamesvenues…

Chant de feu

"Un beau livre, sobre, vif, qui rend tangibles les saisons et les heures. Les illustrations d’Anne Leloup devancent ou suivent le poème avec la force sereine des empreintes." Critique de Françoise Lison dans Le courrier de l’Escaut paru en octobre 1999. Extrait : "A force de se chercher de se trouver de se perdre de rouvrir le sentier des rencontres de déplorer les malentendus les impasses de célébrer les retrouvailles ils déboucheront dans la clarté sans fin" [Source : Le site des éditions…