Au XIXe siècle, on appelait ‘Nouvelle Athènes’ l’actuel quartier Saint-Georges. Ce fut également l’enseigne d’une brasserie de la place Pigalle où les impressionnistes prirent l’habitude de se réunir après 1870. « La Nouvelle Athènes », c’est aussi un grand roman d’apprentissage: celui de Julien Théroigne, qui a dix-huit ans en 1869, dont la sensibilité n’a d’égale que sa passion des ‘beaux-arts’. Il connaîtra les brûlures et les désillusions de la pauvreté, de l’exil, de l’amour,…
« […] mes vacances n’ont pas encore réellement débuté qu’elles s’annoncent déjà…