La Lumière de l´Archange

RÉSUMÉ

1999. Pierre Lhermitte, spécialiste français des maladies virales, prix Nobel de médecine pour le virus contre le sida, fondateur d´une confrérie de scientifiques, est victime du virus qu´il étudie, redoutable mutant surgi dans les forêts centrafricaines. Tenu en quarantaine dans son propre service, soutenu par ses amis du monde entier, il participe à la course de vitesse entre l´épidémie et la recherche, tout en prenant conscience d´un monde contemporain dont il s´était jusqu´alors…

   lire la suite sur   Bela
À PROPOS DE L'AUTEUR

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "La Lumière de l´Archange"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9955 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Philippe Delerm et le minimalisme positif

Cet essai s’attache à cerner, au fil d’une…

Uzès ou nulle part

Uzès. La ville du rêve. La ville de l’absence. Un songe emporté par le vent. L’impression d’une…

Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)

Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…