Aux murs je me blesse, érafle la robe, arrache la rose, à cet écartement m’accroche, à ces murs me mure, fond, fonce dans le mur, cherche partout l’ouverture, la porte, le trou de serrure, la voix, le visage dedans, devant, derrière, cherche la force tendue criblée de lumière, mais seules les pierres couvertes de mousses et de lierres, seule la grotte fermée, la barbarie contre laquelle je me blesse
Ce receuil apparaît comme une sorte de testament poétique. Un espoir l'emporte sur…
Poèmes de Paul Mathieu avec des illustrations de Jean Morette 1. Le train électrique revenu de l'enfance…