« Faux roman d’épouvante », « faux roman policier », selon la critique des années 1940, voici bel et bien un vrai roman de Jean Ray, où l’humour se charge du dénouement. Dans la ville d’Ingersham, plus british que nature, mais toujours un peu flamande, apparaît un certain Triggs, ancien constable. Et chacun de trembler de peurs inavouables : des choses tues et cachées seraientelles révélées par ce paisible et mystérieux enquêteur ? Dans ce dialogue entre le « faux » et le « vrai », difficile de savoir si cette cité est celle de l’indicible peur, ou celle de la peur de l’indicible…
Auteur de La cité de l'indicible peur
Illustrateur de La cité de l'indicible peur
Un récit qui se passe dans l'Italie du XVe siècle et met en scène le personnage…
Lorsqu'un vagabond s'arrête dans un petit village isolé, seul Sam, un étrange vieillard bourru, lui ouvre sa porte.…