« Faux roman d’épouvante », « faux roman policier », selon la critique des années 1940, voici bel et bien un vrai roman de Jean Ray, où l’humour se charge du dénouement. Dans la ville d’Ingersham, plus british que nature, mais toujours un peu flamande, apparaît un certain Triggs, ancien constable. Et chacun de trembler de peurs inavouables : des choses tues et cachées seraientelles révélées par ce paisible et mystérieux enquêteur ? Dans ce dialogue entre le « faux » et le « vrai », difficile de savoir si cette cité est celle de l’indicible peur, ou celle de la peur de l’indicible…
Auteur de La cité de l'indicible peur
Illustrateur de La cité de l'indicible peur
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L'élève Ducobu Vol 4. La lutte des classes
La vie à l'école n'est pas un long fleuve tranquille. Pour certains, l'année scolaire est même plutôt celle de tous les dangers.La vie à l'école n'est pas un long…