Journal d’un crime


RÉSUMÉ

Le corps d’un noyé est repêché un matin pluvieux à Paris.
Qui est cet homme ? Quelles raisons l’ont poussé à un tel acte ? Pas de papiers d’identité, pas d’argent, pas de mouchoir… Une simple carte de visite au nom de Saint-Pons, un avocat. Quel lien unit ces deux hommes, sinon une rencontre banale, lors d’une nuit orageuse où Saint-Pons a tenté de sauver Elio et lui a fait promettre de vivre ? En vain. Obnubilé par ce drame, sceptique face au suicide de cet homme trompé, Saint-Pons s’engage dans une recherche passionnée. Mais cette démarche lui paraît tout à coup dérisoire. La mort d’Elio ne peut que le concerner…





À PROPOS DE L'AUTEUR
Charles Bertin
Auteur de Journal d’un crime
Né à Mons, en Belgique, le 5 octobre 1919. Il est le neveu de Charles Plisnier, qui fut le premier écrivain de Belgique à obtenir le prix Goncourt.Études moyennes gréco-latines à l'Athénée de Mons. Études de Droit et de Sciences politiques à l'Université libre de Bruxelles. Docteur en droit, avocat au Barreau de Mons de 1942 à 1947, il exerça ensuite les fonctions de Chef de Cabinet adjoint du Ministre du Travail et de la Prévoyance Sociale dans le Cabinet présidé par Paul-Henry Spaak. Il a poursuivi depuis lors une carrière administrative. Charles Bertin est membre de l'Académie depuis 1967. Il est Président d'honneur du Comité belge de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques et membre de la Commission de la Société. Titulaire de nombreuses distinctions, il a reçu en 1989 le prestigieux prix Montaigne, de la Fondation Schiller de Hambourg pour l'ensemble de son oeuvre. Il est décédé le 21 octobre 2002.La bibliographie qui suit montre la richesse, la variété, et l'audience internationale d'une oeuvre dont on pourrait dire que «à une époque où la littérature sert communément d'alibi, cette honnêteté luxueuse apporte tout ensemble une preuve de la grandeur et de l'indépendance d'un écrivain et d'une oeuvre».


NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

« Quand le timbre de la porte d’entrée retentit ce matin à sept heures, je sus qu’Elio était mort ». C’est la première phrase du premier roman de Charles Bertin. Lors de sa publication en 1962, l’écrivain a déjà produit une œuvre importante et reconnue depuis ses premiers poèmes, remarqués par Marcel Thiry, en 1939, avant de bifurquer vers la littérature dramatique avec son Don Juan publié en 1946 et couronné par le prix triennal de Littérature en 1948. Ainsi donc, Elio est mort.  Qui est Elio ? Qui est le narrateur ?  Que s’est-il passé entre eux?Mais sans cesse, le visage d’Elio m’apparaissait : je revoyais ce regard tendu, plein d’interrogation et de perplexité,…


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