La mère de Pierre est morte en couches seule au milieu des bois. Lorsque son père est rentré du travail, il était trop tard, Marie était déjà froide et le bébé pleurait. La seule solution qui s’offrit au pauvre homme fût de confier l’enfant à la famille de sa femme. C’est ainsi que grandit Pierre. Depuis toujours, l’enfant savait qu’il était différent, il ressentait un vibrant appel, l’appel de la forêt.
Auteur de Je suis des arbres
Dans une aube qui se prolonge, un homme de soixante et quelques années, cherche au fond du miroir et dans le laitage de la brume matinale,…
Le hasard. Il n'y a que ça, au fond, le hasard. Lui qui nous fait vivre, mourir, aller,…