J’ai cru voir un dieu

À PROPOS DE L'AUTEUR
Piet Lincken

Auteur de J’ai cru voir un dieu

Issu de la génération née après 1968, Piet Lincken, belge d'origine franco-suédoise, mène un travail protéiforme et inclassable afin d'amener à un questionnement autour de l'écriture, de la création, et plus largement de la condition humaine. Poète (Les Bosquets noirs -textes de 1990-2013, J’ai cru voir un dieu, 2010, aux éd. Le Coudrier, et S’entraîner au passage des abîmes, L’Âge d’Homme, 2011…), dramaturge (N’éveillez pas l’ours qui dort, Festival Scénoblique 2010, France), traducteur de la poésie scandinave (un choix de poèmes d’Edith Södergran, traduits du suédois, dans le recueil de Piet Lincken, Å, itinéraire suédois, Atelier de l’agneau, 2011), il est aussi compositeur (Psaume 49, pour chœur et orchestre symphonique, 2006, Cycle pour soprano et piano au Parlement de la Communauté française de Belgique, 2005) et pianiste/organiste professionnel (création de ses œuvres aux orgues de Saint-Germain-des-Prés à Paris etc.). Plus récemment, et dans un parcours proche de celui qu’il mène en photographie sur la Scandinavie, il expérimente le dessin, le plus souvent au fusain et au marqueur, dessins qui font périodiquement l’objet de reproductions en revue ou d’expositions. Il a été souligné à plusieurs reprises une certaine filiation entre son travail et l’expressionnisme nordique (Munch, Barlach...).

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "J’ai cru voir un dieu"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Depuis ce jour

Depuis ce jour, j'ai été adoptée par les familles de Papa et Maman. Pourtant, je suis heureuse. Depuis que ses parents sont décédés, Colette, sept ans, habite chez Tante Jane et Oncle Jean, qui la considèrent comme leur quatrième fille. Le jeudi, elle rend visite à sa soeur, qui réside chez Tante Antoinette, et, la fin de semaine, les deux fillettes retrouvent leur frère chez leurs grands-parents. Malgré quelques vagues de nostalgie et les visites au cimetière, elle vit heureuse en rêvant aux enfants qu'elle-même aura un jour. Un album abordant avec infiniment de sérénité et de simplicité la question du deuil des parents et de l'adoption par la famille. Des croquis rehaussés de lavis aux teintes chaudes ajoutent à la douceur…