Intailles et camées


RÉSUMÉ

« Une intaille est une pierre dure et fine gravée en creux pour servir de sceau ou de cachet. Elle peut être présentée seule ou montée en bague, bijou, ou faire partie d’une parure. C’est le contraire du camée qui est une pierre gravée en relief. » (Wikipedia)
Les premières intailles datent de 5000 ans avant JC, en Mésopotamie, les premières connues en l’occident datent de +/- 100 après JC.
Les premiers camées remontent à la Grèce et la Rome Antique. Ils affichaient alors des images de dieux et de déesses, des héros, des dirigeants, des figures religieuses ou encore des événements marquants. En Grèce, le camée était porté par les femmes dans le but de séduire. Il fut beaucoup monté en broche au XIXe siècle et au début du XXe .
Les deux formes de gravure sont complémentaires et opposées, ombre ou lumière, creux ou relief, joie ou peine, pouvoir ou séduction.
Les différentes déformations graphiques imposées aux images de ces tailles en font des objets divers, brut ou polis, durs ou doux, séduisants ou effrayants comme les textes qu’ils accompagnent, en un choix arbitraire de l’auteur qui le délègue en partie au lecteur.
Méfiez-vous des assemblages faciles !


À PROPOS DE L'AUTEUR
Michel Van den Bogaerde
Auteur de Intailles et camées

A publié à compte d'auteur « Portrait de l’artiste en ruminant », souvenirs d'enfance, à l'Encre du Temps en 2011. A publié « Le testament des pauvres », nouvelles, chez « Murmure des soirs » en 2013 (avec l’aide du Fonds national de la littérature). A publié « La promenade d’Ostende », récit, en février 2014 chez « Murmure des soirs ». A publié « Métaphormes », poésie, en février 2014 chez « Le Coudrier ». A publié "Une vague sur sept", poème, en octobre 2015 chez "Le Coudrier". A publié "Comme une fumée sous le vent", poésie, en novembre 2016 chez "Le Coudrier".  Est peintre : http://www.artmajeur.com/?go=user_pages/display_all&login=vandenbogaerde et a exposé de nombreuses fois, seul ou dans des expositions d'ensemble. A consacré sa vie professionnelle à l'enseignement des mathématiques et des sciences, est pensionné.



NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

À l’Est, on maîtrise le grain de riz sur lequel dessiner le feuillu bambou avec minutie, ou encore l’œuf de jade où se croisent en détails les branches d’un arbre aussi minuscule que miraculeux. À l’Ouest, ce sont les intailles (en creux) et les camées (en reliefs) qui figurent de merveilleuses miniatures, entre gravures et sculptures ; souvent des portraits de la taille de petits médaillons. Cet art orfévré est très ancien : Les Romains, notamment, ont produit de remarquables camées en tirant parti des superpositions de tons de l’agate, de l’onyx, de la sardoine, etc., raconte Larousse.Michel Van den Bogaerde met donc la barre très haut en titrant ainsi son recueil, Intailles et camées. D’autant plus au souvenir…


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