In memoriam : Ecrits wallons




À PROPOS DES AUTEURS
François Renkin
Auteur de In memoriam : Ecrits wallons
François (ou Jean-François) Renkin est un écrivain belge wallon. Il voit le jour à Liège le 12 mars 1872. La santé du jeune homme est fragile, il voue alors son existence à l’étude et aux lettres.  La production de Renkin s’établit selon deux dimensions : d’une part, il crée des œuvres poétiques en wallon et sous le pseudonyme de Hinri Passe-Pid. Ces dernières paraissent dans le journal Li Mestré dont Renkin est le fondateur mais aussi le directeur en 1894. Cet hebdomadaire fait de lui un avant-gardiste puisqu’il y propose une sélection variée mêlant textes populaires et érudits. D’autre part, il dirige des études en français sur l’univers folklorique de sa région, le Bas-Condroz. Il consacre principalement ses recherches aux légendes et aux coutumes. Ses compositions poétiques ne sont pas les seules à être publiées puisque ses études se voient diffusées dans la revue Wallonia à partir de 1893.  Parmi ces différentes productions, figurent les contes On dîmègne (1893) et So l’ancinî (1894), mais également d’autres textes littéraires comme Légendes du Bas-Condroz (1894-1895), l’étude Le Berger magicien (1894) ou les chroniques Messèges d’avâ l’samaine (1895) qu’il signe de son pseudonyme. Au cours de sa vie, Renkin écrit peu. Son œuvre représente septante-cinq pages et s’étend sur quelques années seulement, entre 1893 et 1904. L’auteur s’éteint à trente-trois ans le 17 février 1906 à Ramioul, en province liégeoise. 

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "In memoriam : Ecrits wallons"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Depuis ce jour

Depuis ce jour, j'ai été adoptée par les familles de Papa et Maman. Pourtant, je suis heureuse. Depuis que ses parents sont décédés, Colette, sept ans, habite chez Tante Jane et Oncle Jean, qui la considèrent comme leur quatrième fille. Le jeudi, elle rend visite à sa soeur, qui réside chez Tante Antoinette, et, la fin de semaine, les deux fillettes retrouvent leur frère chez leurs grands-parents. Malgré quelques vagues de nostalgie et les visites au cimetière, elle vit heureuse en rêvant aux enfants qu'elle-même aura un jour. Un album abordant avec infiniment de sérénité et de simplicité la question du deuil des parents et de l'adoption par la famille. Des croquis rehaussés de lavis aux teintes chaudes ajoutent à la douceur…

La mort sur le bûcher

Un récit qui se passe dans l'Italie du XVe siècle et met en scène le personnage…