Auteur de Il y a un monstre dans les toilettes
Née le 27 juillet 1963 à Huy
J’ai toujours aimé lire, jouer avec les mots, regarder des images, inventer des histoires. Mon entourage m’a encouragée à coucher mes récits sur le papier. J’ai une préférence pour les histoires pleines de fantaisie, d’émotion, dont le sens n’apparaît qu’après coup.
Illustrateur de Il y a un monstre dans les toilettes
Née le 18 mai 1974 à Bastogne
Graduat en Illustration, Saint-Luc, Liège
J'aime le monde de l'enfance, la magie, les rêves, le cirque et le théâtre de marionnettes. Ma technique actuelle est un mélange de collages (tissus et papiers récupérés), d'encre, de crayons et d'acrylique.
Réédition. Un petit livre humoristique sorti chez Mijade pour dédramatiser le passage aux toilettes. Maxime est intrigué par ce vide sous lui aux toilettes et se questionne. Il est persuadé que la cuvette abrite un monstre. Quelle horreur ! Maxime met alors au point des parades : il construit une corde pour ne pas tomber dans le trou, prépare des chaussures particulières en cas de fuite, pense…
Un ours et moi, et moi, et moi
Comme tous les matins, devant le miroir, Léo se dit bonjour : « Salut, moi ! Aujourd'hui,…
Un énorme escargot est entré dans notre maison. Mes parents m'ayant toujours refusé un chiot, je les ai suppliés de le garder. Il était une fois un gros escargot. Gros taille labrador. De fait, le petit garçon qui le trouve dans sa maison plaide auprès de ses parents pour le garder en tant qu’animal domestique. Il s’appellera Francis. Ce sont alors des jeux au jardin (et des plates-bandes avalées), de la salade pour tous en entrée, une chambre occupée au sol (le lit) et au plafond (le pied de l’escargot)… Le lendemain matin, deux très gros escargots arrivent - taille petite voiture -. Ce sont les parents de Francis. Les deux familles se séparent, sans un mot évidemment. Mais les parents du jeune humain ont réfléchi et offrent alors un chien à leur fils… (on notera que ce teckel est plus petit que l’escargot, d’ailleurs). Tout est dans le dessin. Mais tout est dans l’histoire aussi. Rarement la synergie entre texte et image aura aussi bien fonctionné, sur le mode ici d’un absurde captivant. Racontée avec un flegme absolu, l’intrigue surréaliste est accompagnée brillamment par des illustrations en peinture de type elles hyperréalistes, complètement et faussement sérieuses. Seule la toute fin, espèce de pirouette de vocabulaire, semblera un peu faible. A lire dans un éclat de rire intelligent.…