Feuilles mortes glissant dans l'eau claire

RÉSUMÉ

Poèmes de mon adolescence: 1962-1968 Sous les dalles intemporelles, une fille endormie, l´aile coincée à l´interstice. Je me penche, la reconnais, l´adolescente que je fus. Vie ancienne retrouvée. Ce livre est à la fois un exorcisme et la réalisation d´un rêve refoulé… Au fond de ce miroir terni, un temps tremble.

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Monique Thomassettie

Auteur de Feuilles mortes glissant dans l'eau claire

Je suis née le 5 mars 1946 à Bruxelles.Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été symboliste, c'est-à-dire métaphoriquement animée, spontanément animiste. Cette confidence me mènerait à des considérations d'ordres philosophique et mystique que j'ai, dans certains de mes livres, déjà tenté de développer, intégrant immanence et transcendance.Un spirituel et évident appel me fit, dès mon enfance, écrire et dessiner. À douze ans, une première pièce de théâtre. Dès seize ans, des poèmes. À dix-huit, une deuxième pièce.Après des humanités suivies d'un travail administratif de rédactrice puis de cours de dessin et peinture d'après nature, je cherche mon expression plastique qui se révélera, en effet, de plus en plus symboliste.Quant à ma plume d'autodidacte écrivain, elle trempa d'emblée dans une encre métaphorique.Depuis quelques années, toute mon énergie créatrice passe dans ma seule écriture, mais j'y reste peintre. Et musicienne d'instinct. Mon théâtre intègre particulièrement écriture et composition picturale de personnages (portraits inclus). Exprimant le même univers, mes écrits et mes tableaux ou dessins inévitablement se rejoignent.

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CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…