Dans un monde suffoquant, Claude Donnay observe le quotidien avec une lucidité teintée d’espoir. Qu’importe la saison, le ciel peut tout à coup s’obscurcir et devenir aussi épais qu’une calotte glacière. Pour reprendre son souffle, le poète va chercher dans les interstices lumineux que les souvenirs ou l’inattendue d’une rencontre ont à lui offrir.
Auteur de En apnée sous ma banquise
Échange Virtualité délaissée des rêves du cybernespace, Virtuosité inconsciente aux vents…
Poèmes de Paul Mathieu avec des illustrations de Jean Morette 1. Le train électrique revenu de l'enfance…