Élisée Reclus : Géopoétique et université nouvelle (L'Article n°39)


RÉSUMÉ

Il en savait bien plus sur la Terre que la vie des abeilles et des fourmis, ses idées étaient encore plus égalitaires qu’Émile Verhaeren. Non, il n’était pas belge. Il n’avait pas de nationalité, c’était un explorateur, un géographe aventurier et un poète. Vous allez le rencontrer dans quelques instants, au cours d’une soirée bien arrosée, grâce au talent de conteur et de chercheur de Marc Meganck.

Vous verrez comment il s’est retrouvé à vivre les dernières années de sa vie en Belgique. Comme tant d’autres après lui, Bruxelles a su conquérir ce touche-à-tout et le grand voyageur a posé définitivement ses valises à Ixelles. La Belgique ne fut pas ingrate envers lui. Il reçut d’un explorateur belge le grand honneur de donner son nom au seul continent qu’il n’avait jamais foulé. Ainsi, le géographe a fini son tour de la Terre.

Et si « l’humanité ne sera plus qu’un même fleuve » et que « nous descendrons ensemble vers la grande mer », il semble qu’au creux de l’Europe, le dernier méandre avant le grand saut dans la réunion universelle, ce soit bel et bien cette petite ville que l’on nomme Bruxelles.




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