Composés essentiellement de notes, préfaces, articles, courts poèmes, restés inédits jusqu’à sa mort, les Écrits de Camille Goemans sont les témoins d’une volonté exemplaire de dissimulation. Présentant de parfaits alexandrins déguisés en prose, pastichant et réécrivant les autres, Goemans se signale surtout par des énoncés lapidaires et fulgurants tels que « Tant va la plume à l’encre qu’à la fin ça se sent ».
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…
Échange Virtualité délaissée des rêves du cybernespace, Virtuosité inconsciente aux vents…