Delia on my mind est un roman en huit « pulsations », encadrées par des rêves, et semé de poèmes. Mais Delia on my mind est-il vraiment un roman ? N’est-ce pas, très concrètement, le reflet typographique d’une danse haletante ? N’est-ce pas l’avatar chapitré d’un chant, tour à tour prière mystique, hurlement hard-rock, romance délicate ?
Je ne me risquerai pas à répondre à cette question de manière trop catégorique. Le roman n’est pas une forme. On en fait ce qu’on veut. Et Kenan Görgün est un auteur bien décidé à ne pas se laisser enfermer dans des cases. Son livre s’ouvre et se referme sur des rêves de loups. Les loups se cherchent les uns les autres, parce qu’ils ne peuvent…
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