L’association des éditeurs belges lance le défi Des livres belges dans votre valise.
Cet été, que vous passiez vos vacances dans les Ardennes, à la Côte belge, sur votre balcon, dans votre jardin ou carrément hors de nos frontières… Remplissez vos valises (virtuelles ou pas !) de livres bien de chez nous.
Voici quelques défis qui sont proposés :
– Emmener un livre belge en vacances et l’y photographier.
– Découvrir via les ouvrages d’un éditeur belge un genre qu’on n’a jamais lu auparavant (poésie, nouvelles, manga…)
– Lire un livre belge à un enfant
– Lire un livre dont l’auteur & son éditeur sont belges
– Lire un livre dont l’action se déroule en Belgique
– Lire un livre belge conseillé par votre libraire
– Lire un livre belge emprunté à un•e ami•e / bibliothèque
– Prêter un livre belge à un•e ami•e
– Emmener une BD belge avec soi sur la plage ou au parc ou…
– Se (faire) photographier dans sa librairie préférée (avec son ou sa libraire, c’est encore mieux !).
– Photographier des livres d’éditeurs belges dans sa librairie préférée ou la bibliothèque de son quartier.
Pour participer, les lecteurs sont invités à partager les photos (les plus originales possibles) sur les réseaux sociaux avec le mot dièse/hashtag #DLBDVV ou #DesLivresBelgesDansVotreValise ou envoyer vos photos à adeb@adeb.be.
Plus d’infos
www.adeb.be
Ecrivain belge d'expression française, L. Scutenaire était très lié avec les groupes surréalistes…
Aspects inconnus et méconnus de la contrefaçon en Belgique
À propos du livre La contrefaçon belge des livres à l'époque romantique est quasiment inconnue. Née au lendemain de la séparation de la Belgique d'avec la France et de son rattachement à la Hollande, poursuivie après l'indépendance belge conquise à la suite de la révolution de 1830, cette industrie colossale, parfaitement licite en raison des législations nationales et internationales d'alors, eut à son actif, sans que leurs auteurs ou leurs ayants droit pussent s'y opposer, la reproduction, la traduction, l'adaptation des ouvrages étrangers, principalement français, qu'ils fussent littéraires, religieux, scientifiques, artistiques, politiques, historiques, militaires, musicaux, ou qu'ils traitassent de cuisine, de jeux de société, de typographie, d'archéologie, etc. Ce sont toutes les facettes de la «contrefaçon» belge que recense ce livre, divisé en une introduction, vingt chapitres abondamment illustrés de catalogues et de textes publicitaires d'époque, et trois annexes. Compte tenu de l'importance capitale du sujet, cet ouvrage interpellera tant le monde de la librairie que celui des bibliophiles, des bibliographes, des philologues, des économistes, des juristes, des scientifiques, des sociologues, des chercheurs, enfin : de tous ceux qui, de près ou de loin, érudits ou néophytes, s'intéressent au romantisme et à la Belgique de 1814 à 1855, lorsque ses éditions, souvent très soignées et vendues à des prix défiant toute concurrence, étaient répandues dans le monde entier et y propageaient les langues étrangères, au premier rang desquelles figure le français. L'auteur étudie depuis 1973 cet inépuisable et passionnant sujet, auquel il a déjà consacré dans le Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises trois études. Son livre, le premier à traiter de façon globale de la contrefaçon belge, est la somme de ces années…
Préface par Jean-Luc Wauthier Portrait par José-Willibald Michaux À propos du livre Les effigies sont…