De lanterne et d’améthyste | Objectif plumes

De lanterne et d’améthyste

RÉSUMÉ
Ces poèmes tirent leur inspiration de photographies issues d’une exposition nocturne, mettant en scène des jeux de lumière et d’eau, qui ébauchent un mouvement perpétuel.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Michel Aubevert

Auteur de De lanterne et d’améthyste

Jean-Michel AUBEVERT est né à Bruxelles (Uccle) le 21 juin 1952. De formation littéraire, il se consacre à l'écriture poétique depuis de nombreuses années. Familier des enchantements où se profilent les mondes ailleurs, amoureux des jardins où s'invite l'âme des jardiniers, il tutoie la poésie depuis toujours. Musicien des mots, il y transcrit ses bonheurs, ses peines, ses révoltes.Poésie:
  • Nombre de chienne, Amay, Editions de l'Arbre à paroles, 1997.
  • Enfant de son père, Lille, Editions du Rewidiage, 1999.
  • Avec les petites filles, Lille, Editions de la Maison de la Gare, 1999.
  • Dormeurs égalitaires, Suisse, Editions de l'Amble, 2000.
  • Les enchantements, Mont-Saint-Guibert, Editions le Coudrier, 2001.
  • Abracadabra!, Mont-Saint-Guibert, Editions le Coudrier, 2001.
  • Notre patrie des schizophrènes, Mont-Saint-Guibert, Editions le Coudrier, 2004.
  • Cette eau si claire, Mont-Saint-Guibert, Editions le Coudrier, 2005. (Livre objet, collection "Sotilèges")
  • Bestiare ornithorynque, Mont-Saint-Guibert, Editions le Coudrier, 2005.
  • Poème des lampes, Lille, Editions de L'Epi de Seigle,  2003.
  • Venir au jour, Mont-Saint-Guibert, Le Coudrier, 2008.
  • Chemin du dernier vivant, Mont-Saint-Guibert, Le Coudrier, 2006.
  • La leçon d'écriture, L'Ane qui butine, 2007. Coll. Les pamphlets.
  • Chairs de peau, Mont-Saint-Guibert, Le Coudrier, 2008. Collection "Sortilèges".
  • Venir au jour, Mont-Saint-Guibert, Le Coudrier, 2008.
  • Utilités du rêve, Le Coudrier, 2011. Collection "Sortilèges".
  • De lanterne et d'améthyste, Le Coudrier, 2012. Illustrations de Joëlle Aubevert.
  • Soleils vivaces, Le Coudrier, 2015.
Parus en revue ou complément de revue:
  • Epiphanie des pissenlits, 2002 (dans "Comme un Terrier dans l'Igloo").
  • Cette eau si claire, 2004 (complément à la revue "Décoll").
Prose:
  • La chute dans le miroir, Editions De Boeck  Université, 1991.
Revues:Jean-Michel AUBEVERT a publié des textes, tant poétiques que d'opinion, dans diverses revues, dont l'Arbre à Paroles, Dixformes-Informes, Comme un Terrier dans l'Igloo, Bleu d'Encre, Remue-Méninges, la Nouvelle Revue Moderne. Cette dernière lui a consacré un numéro hors série en 2003: "Cavernes de l'Ange". À consulter :"Jean-Michel Aubevert : les utilités du rêve". In : Reflets Wallonie-Bruxelles : la pensée wallonne, n°29, juillet-sept. 2011, p.16.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "De lanterne et d’améthyste"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9955 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les chaises musicales

Le deuxième roman de la Bruxelloise Ziska Larouge, nouvelliste surtout et auteure déjà…

Le Nouveau Messie

Gabriel est un tamponné de la vie incapable de dire non. Son besoin d’amour est insatiable !…

Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)

Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…