En 2061, dans un monde où l’accès à l’eau et à l’alimentation s’est complexifié, où les ressources énergétiques se raréfient, des personnages arpentent différents quartiers de Bruxl, une mégapole marquée par de forts contrastes sociaux, politiques et technologiques.
Neuf nouvelles captivantes et inventives dans lesquelles il est autant question de réalité virtuelle, de lentilles connectées, de pratiques de pollinisation manuelle, d’étranges insectes changeant de couleur en fonction de l’humeur des personnes, de jeunes hackeureuses, que d’un festival pour se désintoxiquer du virtuel…
À l’origine de ce livre, il y a un « jeu narratif » proposé à des jeunes d’aujourd’hui par une équipe pluridisciplinaire de chercheureuses et d’artistes qui se sont rencontré·es autour du philosophe Bruno Latour.
Auteur de Dans leurs pas : Réalités fabulées de 2061
Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)
Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…