Comme une lance de René Bizac s’offre comme une étrange pièce dramatique onirique dotée d’une langue souvent proche de l’hyperréalisme.La mère de l’auteur est décédée à l’âge de 92 ans et c’est à un hommage profond et lucide que se livre l’auteur dans cette pièce toute en subtilité dialogique.Une liste, celle des affaires de la mère, jusqu’au plus trivial, et puis, « Voilà la chambre est vide« .On pense à cette merveille de Lydia Flem Comment j’ai vidé la maison de mes parents, où elle visitait cette vastitude de différence entre un legs et un héritage. La transmission reste la grande question et René Bizac la traite sur scène en mettant…
Le rythme du tram, c’est le rythme du récit pendant lequel Déborah réfléchit. À Knokke, après…
Un valeureux gaillard, Jean-Denis Coumba, petit-fils de Sibri-le-Colosse, descendant de Mamba, le chef de cavalerie…