Instituteur, peintre, critique d’art, parolier de chansons, dessinateur de presse, affichiste, il n’y a pas à dire : Jo Dustin aura été de ce genre d’individus à géométrie variable, touchant avec bonheur à tout ce qui lui tenait à cœur. Chronique du temps qui lasse est une belle occasion de découvrir – et pour cause ! – un Jo Dustin poète.Écrits entre 1956 et 1993, disséminés dans divers carnets de notes, les poèmes de Dustin n’auront été dévoilés au public qu’après sa disparition. Si leur auteur ne les a pas, de son vivant, donné à lire, ils ne constituent pas pour autant un « jardin secret », « strictement interdit au public ». À les lire – et à les entendre –, on ne ressent pas, en tout cas, la sinistre impression…
Lire les poèmes d'Eddy Garnier n'est pas sans rappeler la concision et la puissance évocatrice du…
Portrait par Jean Tordeur Préface de Michel Ducobu À propos du livre En 1943, les poèmes de La Vigne amère , en 1950…