Qu’il dénonce les menées des groupes financiers et les manoeuvres des multinationales, la destruction de la nature ou l’épuisement d’un certain art contemporain, ce livre est un cri de révolte contre diverses formes de servitude.
Il ne s’agit pas d’un roman au sens convenu du terme, mais d’une évocation éclatée du monde actuel : au gré de monologues qui se répondent, se chevauchent et s’entrecroisent, de multiples styles métamorphosent de l’information en littérature et concourent à jeter un regard critique sur la gravité des temps.
Cette chronique est un discours incendiaire où la langue classique, les néologismes, les jeux de mots, les perturbations de la syntaxe et autres écarts invitent le lecteur à se détacher des normes et des idées reçues pour en discerner les implications mortifères et les subvertir.
Auteur de Chronique de l’ère mortifère
Dans le décor hallucinant d'une guerre qui les déchire, deux familles, l'une des Cantons de l'Est et…
On ne soulignera jamais assez combien la littérature francophone de Belgique, lorsqu’elle…