Qu’il dénonce les menées des groupes financiers et les manoeuvres des multinationales, la destruction de la nature ou l’épuisement d’un certain art contemporain, ce livre est un cri de révolte contre diverses formes de servitude.
Il ne s’agit pas d’un roman au sens convenu du terme, mais d’une évocation éclatée du monde actuel : au gré de monologues qui se répondent, se chevauchent et s’entrecroisent, de multiples styles métamorphosent de l’information en littérature et concourent à jeter un regard critique sur la gravité des temps.
Cette chronique est un discours incendiaire où la langue classique, les néologismes, les jeux de mots, les perturbations de la syntaxe et autres écarts invitent le lecteur à se détacher des normes et des idées reçues pour en discerner les implications mortifères et les subvertir.
Auteur de Chronique de l’ère mortifère
Véritable surprise que la découverte de ce livre ! En 1879, Marie Nizet publie Le capitaine vampire…
" Je sens ses bras autour de ma taille. Il me serre si fort. Je n'ose ouvrir les yeux. La chaleur de sa langue sur la mienne, que c'est doux, que c'est bon. Je profite de ce baiser qui n'en finit pas, de ses mains qui crient tendresse, de ses jambes qui disent caresses, de ce corps qui surgit de l'arbre en chantant l'Amour !". Les sept visages de l'eau, un mariage d'amour et de haine où le passé imprègne le présent et détermine l'amour. FranMi nous emmène à travers une recherche d'identité, d'un rôle social dans une communauté villageoise qui, à l'instar de Saint-Léger, son village d'adoption, présente plein de contradictions. Comment vivre, comment demeurer dans un environnement où les traditions et habitudes anciennes se frottent à la consommation et la vitesse…