Qumran, Israël, aux abords de la mer morte. Un jeune archéologue, Mathias Kiesler, fait une découverte extraordinaire ; des parchemins datant de plusieurs millénaires. Malheureusement, les rouleaux disparaissent en fumée lors d’un incendie à l’Institut Archéologique de Jérusalem. Mathias retourne alors à Paris poursuivre la vie monotone et solitaire qu’il tentait de fuir. C’est alors qu’il rencontre une jeune femme dont il tombe éperdument amoureux ; Chloé, belle et féline. Leur bonheur semble désormais indestructible. Un soir, Mathias l’emmène dans un prestigieux restaurant de la capitale et lui demande sa main. De retour dans leur appartement, ils se font violemment agresser par un homme. Après une lutte acharnée, Chloé tue l’inconnu sous le regard d’un Mathias incrédule. Leur existence bascule alors dans une course poursuite effrénée avec des hommes de l’ombre dont ils ignorent le mobile. L’aventure les emmènera sur plusieurs continents à la recherche du plus fabuleux des trésors archéologiques.
Auteur de Chloé
Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)
Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…