Bruxelles coquin ou sa littérature olé-olé

À PROPOS DES AUTEURS
Georges Lebouc

Auteur de Bruxelles coquin ou sa littérature olé-olé

Georges Lebouc est né en 1936 à Bruxelles d'un père français et d'une mère belge. Après des études secondaires à l'Athénée d’Ixelles, il entreprend des études de philologie romane et est licencié en philosophie et lettres de l'Université libre de Bruxelles en 1963. Il complète ce diplôme par des certificats universitaires d'espagnol et d'italien. Il devient professeur à l'Institut supérieur d’Études sociales de l'État, à Bruxelles, principalement dans la section bibliothécaires-documentalistes. Les éditions Marabout lui commandent une méthode d'apprentissage de l'italien en 1990. Depuis cette date, il publie deux ouvrages tous les ans, surtout dans le domaine linguistique : italien, espagnol, français et bruxellois. Il dirige la collection « Lettres bruxelloises » aux Éditions Racine depuis 2001. Il est auteur d'articles de critique cinématographique et collabora à plusieurs revues dont le Cercle d'histoire de Bruxelles, trimestriel où il livra des études sur des mots bruxellois à l'étymologie difficile.
Clou (Christian Louis)

Illustrateur de Bruxelles coquin ou sa littérature olé-olé

Après une carrière d’éditeur pour un mouvement de jeunes, en 1992, Clou (acronyme de Christian Louis, son vrai nom) s’installe à son propre compte comme illustrateur et dessinateur de presse indépendant. Il publie notamment des cartoons dans La Libre Entreprise, le supplément économique du quotidien bruxellois La Libre Belgique et dans Croqu’Info (Fladder), ainsi que des illustrations dans Bonjour, Tremplin et Dauphin, pour le groupe des Presses Européennes, à Averbode. Ses cartoons se retrouveront dans les publications des coopératives socialistes, de l’union belge des banques, de la fédération des maisons médicales ou de la ligue des familles. Il réalise aussi de nombreuses illustrations publicitaires, entre autres pour le Crédit lyonnais, Mondial Assistance, les chaussures Bally ou Bruxelles-Propreté. C’est en 1996 que la Libre Belgique lui propose une collaboration quotidienne. Il devient alors le caricaturiste attitré du journal. Outre son activité de dessinateur d’actualité, il réalise régulièrement pour La Libre Belgique des bandes dessinées humoristiques, en particulier le strip quotidien Le Quatrième Pouvoir, dont un recueil, aujourd’hui épuisé, est paru chez Luc Pire. En septembre 2000, le Quatrième Pouvoir a cédé la place à La Petite Bande de Clou, l’histoire d’une bande d’enfants, hommage modeste mais avoué à Charles Schulz, le créateur des Peanuts. En juin 2010, Clou a remporté le prix du public du prestigieux Press Cartoon Belgium. C’est le premier francophone à avoir obtenu ce prix. En 2012, il obtient le deuxième prix au Press Cartoon Europe1. En septembre 2012, aux éditions La Muette, paraît Martel en Tête, un recueil de ses dessins d’actualité.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Bruxelles coquin ou sa littérature olé-olé"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Une revue catholique au tournant du siècle : Durendal 1894-1919

À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…

Pour une internationale du genre humain

En renouant avec la tradition du manifeste,…