Béatrice : de Dante à Orval : une enfant au coeur d’un grand secret

À PROPOS DE L'AUTEUR
David Pierson

Auteur de Béatrice : de Dante à Orval : une enfant au coeur d’un grand secret

Journaliste-photographe d'abord, journaliste ensuite, David Pierson avait pourtant suivi une formation sciences-maths avant de quitter la sphère des chiffres pour celle des lettres. Après avoir suivi une licence en communications sociales à L'IHECS, il travaille comme photographe pour l'agence belga (1992-2000) dans le staff de base des bureaux bruxellois. Puis comme journaliste à TV Lux. Un retour au vert puisqu'il a grandi à Florenville. Professeur invité à l'IHECS de 1996 à 2006, il forme durant cette période les étudiants de première et deuxième masters (option Presse & Information) à la lecture et à la réalisation de photos de presse. Passionné par l'Histoire, et particulièrement celle de l'abbaye d'Orval, il publie en octobre 2020 « Béatrice de Dante à Orval » (Weyrich). Dans ce premier essai, il révèle l'identité de Béatrice, la muse du génial poète, que ce dernier identifie de manière codée à la fille de Mathilde de Toscane, fondatrice légendaire de l'abbaye gaumaise.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Béatrice : de Dante à Orval : une enfant au coeur d’un grand secret"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9631 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Aspects inconnus et méconnus de la contrefaçon en Belgique

À propos du livre La contrefaçon belge des livres à l'époque romantique est quasiment inconnue. Née au lendemain de la séparation de la Belgique d'avec la France et de son rattachement à la Hollande, poursuivie après l'indépendance belge conquise à la suite de la révolution de 1830, cette industrie colossale, parfaitement licite en raison des législations nationales et internationales d'alors, eut à son actif, sans que leurs auteurs ou leurs ayants droit pussent s'y opposer, la reproduction, la traduction, l'adaptation des ouvrages étrangers, principalement français, qu'ils fussent littéraires, religieux, scientifiques, artistiques, politiques, historiques, militaires, musicaux, ou qu'ils traitassent de cuisine, de jeux de société, de typographie, d'archéologie, etc. Ce sont toutes les facettes de la «contrefaçon» belge que recense ce livre, divisé en une introduction, vingt chapitres abondamment illustrés de catalogues et de textes publicitaires d'époque, et trois annexes. Compte tenu de l'importance capitale du sujet, cet ouvrage interpellera tant le monde de la librairie que celui des bibliophiles, des bibliographes, des philologues, des économistes, des juristes, des scientifiques, des sociologues, des chercheurs, enfin : de tous ceux qui, de près ou de loin, érudits ou néophytes, s'intéressent au romantisme et à la Belgique de 1814 à 1855, lorsque ses éditions, souvent très soignées et vendues à des prix défiant toute concurrence, étaient répandues dans le monde entier et y propageaient les langues étrangères, au premier rang desquelles figure le français. L'auteur étudie depuis 1973 cet inépuisable et passionnant sujet, auquel il a déjà consacré dans le Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises trois études. Son livre, le premier à traiter de façon globale de la contrefaçon belge, est la somme de ces années…

Le petit tour du monde avec Nathalie

Un atlas qui invite à voyager en compagnie d’un célèbre…