Awa : Faut qu'on change le monde

RÉSUMÉ

Awa a sept ans. Elle vit à Liège avec ses parents et sa grande soeur, mais se sent à la fois belge, guinéenne, française, marseillaise, sicilienne-italienne… et gauchère. Elle adore le chocolat, les livres, et embêter sa soeur Maïa. Elle a horreur des robes, du racisme, d’être gentille avec tout le monde, et elle déteste les aubergines. Plus tard, elle veut devenir reine-capitaine-pirate de la mer.
Elle est curieuse, drôle, têtue, et a un sacré sens de la répartie.
Et elle a beaucoup de choses à vous dire…

À PROPOS DES AUTRICES
Zélia Abadie

Autrice de Awa : Faut qu'on change le monde

Née en 1983 à Sarlat (Dordogne), elle passe sa petite enfance entourée de champs de tabac et de bois. Après un bref passage près de Marseille, elle est élève à l’école primaire dans un village proche de Montpellier. Elle vit deux ans à Villefranche de Rouergue (Aveyron) et retourne à Montpellier pour entrer au lycée. Son désir la porte vers le métier de réalisatrice. Baccalauréat littéraire (théâtre/cinéma) en poche, elle suit les cours de classe préparatoire juridique ENS Cachan. Elle interrompt ces études pour préparer différents concours d’école de cinéma. Sans succès. Grâce à une rencontre amicale, elle découvre Bruxelles. Par intuition, elle s’y installe à l’âge de vingt ans. Diplômée d’un bachelor en techniques cinématographiques et d’un master en scénario, elle est assistante mise en scène pendant sept ans sur de nombreux tournages. Enthousiasmée par la singularité et par l’altérité, elle écrit depuis toute petite. Elle vit à Liège.
Gwenaëlle Doumont

Illustrateur de Awa : Faut qu'on change le monde

Née le 22 anvier 1972 à Charleroi

Graduat Arts graphiques - Illustration, Saint-Luc, Bruxelles

Ma technique est traditionnelle, crayon et encre de chine, crayons de couleurs, encres colorées, je me débrouille aussi en numérique. J’adore les dessins expressifs et vivants. Le trait est mon meilleur allié pour chercher une attitude, une expression juste. Déclencher le rire chez le lecteur est comme une récompense.

 

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Klimt

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