Aux Pays du Fleuve et des Grands Lacs. Tome I.

RÉSUMÉ

Extrait de ‘L´Arbre blanc dans la Forêt noire’ publié en anthologie.

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À PROPOS DES AUTEURS
Edmond Picard

Auteur de Aux Pays du Fleuve et des Grands Lacs. Tome I.

Edmond Picard est un jurisconsulte et  écrivain belge, né à Bruxelles  le 15 décembre 1836  et mort à Dave le 19 févier 1924.  Il fut le fondateur en 1881 du Journal des Tribunaux et des Pandectes belges. Avocat à la cour d’appel de Bruxelles et à la Cour de Cassation  il fut bâtonnier, professeur de droit, écrivain, dramaturge, sénateur socialiste, journaliste et mécène. Il fut aussi un influent théoricien de l'antisémitisme. C'est un socialiste de la première heure, avant la création du parti ouvrier belge. Il se range parmi les libéraux progressistes. Il se prononce rapidement pour l'adoption du suffrage universel pur et simple en Belgique. Il fit partie de la franc-maçonnerie.
Jean-Louis Lippert

Auteur de Aux Pays du Fleuve et des Grands Lacs. Tome I.

Jean-Louis Lippert (né en 1951) serait une figure majeure de la littérature belge de la langue française s'il en faisait partie. Refusant les faux-semblants, les stratégies, les discours d'un microcosmes littéraire - qui le lui rend bien en ignorant l'apport fécond qui est le sien -, Jean-Louis Lippert tire de son histoire personnelle qui l'a fait naître en Afrique une décennie avant l'indépendance du Congo et l'assassinat de Lumumba une partie de la matière de ses récits, sur laquelle se greffe une critique radicale de la société de consommation et du monde post-moderne. Partagé entre deux continents et deux cultures, il replace la problématique belge dans une perspective critique sans évacuer la douleur du questionnement et de la mise en abyme, fût-ce au prix de la solitude, de l'intransigeance de la liberté de pensée.
  • Pleine lune sur l'existence du jeune bougre, Messidor, Paris, 1990.
  • Mamiwata, Talus, d'approche, Mons, 1994.
  • Dialogue des oiseaux du phare, Luce Wilquin, Avin, 1998.
  • Confession d'un homme en trop, Luce Wilquin, Avin, 1999.
  • Tango tabou de l'Ombu, Luce Wilquin, Avin, 2002.
  • Tombeau de l'aède, Luce Wilquin, 2002.
  • Ajiaco, Miroir sphérique, 2012.
  • Sous le pseudonyme d'Anatole Atlas :
  • Manuscrits de la Mère-Rouge, Sphère Convulsiviste, 1985.
  • Autopsie du XXe siècle, Sphère Convulsiviste, 1986.
  • Transe pour retrouver le sens du devenir, Sphère Convulsiviste, 1987.
  • L'au-delà est là, Sphère Convulsiviste, 1990.
  • De la Belgique - phénoménologie de l'absence d'esprit, Luce Wilquin, 2000.
  • Global Viewpoint, le point de vue d'Homère sur la face cachée du Monde, Maelström, Bruxelles, 2003.
  • Sous le pseudonyme de Juan-Luis De Loyola :
  •  Fragments pour que noblesse oblige - adresse aux fistons de Tonton, Luce Wilquin, Avin, 2001.
  • À consulter :
  • Eric Brogniet, Jean-Louis Lippert, Approches du narrateur en aède, athlète, anachorète, Editions de la Différence, 2001.
  • Eric Brogniet, Jean-Louis Lippert, aède, athlète, anachorète, Luce Wilquin, 2003.
  • Eric Brogniet, Jean-Louis Lippert, une écriture en kaléidoscope. In : Lectures, n° 152, sept-oct. 2007, p. 62-63.
  • Jacques-Gérard Linze

    Auteur de Aux Pays du Fleuve et des Grands Lacs. Tome I.

    Jacques-Gérard Linze naît à Liège le 10 septembre 1925, dans un milieu propice à l'écriture. Son père est commerçant, mais aussi journaliste et chroniqueur d'histoire locale. Le futur écrivain est le neveu du poète, romancier et critique Georges Linze, chez lequel l'enfant passe de longs après-midi pour y découvrir les livres de la bibliothèque. Tout en effectuant ses études, il s'initie très jeune au piano. À l'Université de Liège, il suit les cours de philosophie et lettres et devient rédacteur en chef du mensuel des étudiants catholiques de l'institution. Mais ses convictions personnelles l'en éloignent rapidement. Il découvre le jazz avec passion, se produit en public et exerce ses talents pour l'armée américaine à la fin de la seconde guerre mondiale. Devenu docteur en droit, Jacques-Gérard Linze est avocat de 1949 à 1952. Cette année-là, il part pour le Congo belge et travaille dans une société commerciale à Léopoldville. En 1953, il revient au pays et occupe des fonctions juridiques et administratives dans différentes entreprises. Il écrit des poèmes et des nouvelles, publiés en revues, ainsi que deux pièces de théâtre, qui resteront inédites. De 1956 à 1969, il s'occupe de publicité. En 1959, il se marie. Un premier recueil de poèmes, Confidentiel, voit le jour en 1960. Il sera suivi en 1963 d'une plaquette intitulée Trois tombeaux, dédiés à Supervielle, à Cendrars et à Apollinaire. Le thème de la destinée y tient une place essentielle, qui se retrouvera dans des textes à tirage limité, dédiés à Gustav Mahler, les poignants Cinq poèmes pour la mort, parus en 1974, la même année que Passé midi. Mais le poète ne se manifeste qu'à intervalles irréguliers : dix années ont séparé les premiers recueils des publications suivantes. Il faudra attendre quinze ans pour que de nouveaux poèmes paraissent, en 1988, Terre ouverte, suivi de Graffiti, en 1991 et d'Au bord du monde en 1994. Dans le domaine lyrique, Linze a produit une œuvre peu abondante. L'ensemble comporte moins de trois cents pages, et l'on ne peut que le regretter. Le message transmis s'attache au mystère fondamental de l'homme. L'attitude face à la mort prend un aspect de révélations intimes qui dévoilent une sensibilité profonde à la souffrance existentielle et à l'incommunicabilité. Si la sensualité est toujours présente dans les objets et les êtres, la tendresse l'est aussi et confère à cette poésie déchirée un message d'espoir sans cesse renouvelé. De 1963 à 1969, Jacques-Gérard Linze est professeur de rédaction à l'École de publicité de Bruxelles. De 1969 à 1986, il occupe dans une multinationale la fonction de directeur de la publicité et des relations publiques. Il fait paraître deux essais en 1972, puis en 1974. Mieux connaître Constant Burniaux résume en un peu plus de cent pages l'apport de l'auteur de La Bêtise à notre littérature nationale (Linze a été un ami très proche du fils de Constant Burniaux, le regretté Jean Muno). Dans Humanisme et judaïsme chez David Scheinert, il souligne l'importance de la production d'un écrivain écorché par la vie, marqué par sa condition historique et par sa révolte devant la cruauté du destin. Si Jacques-Gérard Linze a publié des récits et des nouvelles dans diverses revues, notamment dans la Revue générale, et fourni à ces mêmes publications des collaborations dans les genres littéraires les plus divers, ce sont les huit romans parus à ce jour qui lui ont permis de donner sa pleine mesure. En 1962, Par le sable et par le feu inaugure une série de cinq volumes qui vont voir le jour en six ans. Ce premier texte, à l'écriture traditionnelle, contraste avec ceux qui vont suivre. La mémoire et l'élément féminin qui seront au premier plan des préoccupations de l'écrivain sont peu présents ici, alors que le thème de la solidarité demeure. Dès La Conquête de Prague, en 1965, c'est précisément le souvenir et la femme aimée, disparue dans des circonstances tragiques, qui sont au centre du débat. Quant à l'écriture, elle tend à rompre avec les schémas classiques pour éclater comme un puzzle qui devrait se reconstituer de lui-même, comme chez certains écrivains anglo-saxons, dont Linze avoue l'influence. Le Nouveau Roman exerce aussi une vive influence et marquera ses écrits. Désormais la mort est en toile de fond, comme dans la poésie. Le Fruit de cendre, en 1966, et L'Étang-cœur, un an plus tard, accentuent cet univers de fatalité quotidienne dans laquelle s'enlisent des personnages en proie à des énigmes qui les dépassent, mais auxquelles ils doivent impérativement faire face dans une sorte de rêve éveillé. Après La Fabulation, en 1968, Linze va entrer dans un silence romanesque de près de quatorze années. Dans cet ouvrage, le narrateur tente sans succès de découvrir les motifs d'un décès qui remonte à huit ans. Ici se situe la logique et la cohérence de l'œuvre de Linze : la recherche n'aboutit jamais qu'à elle-même. Quand il publie Au nord d'ailleurs, en 1982, manière et matière se retrouvent : le héros est un être qui ne peut aller qu'à la recherche de lui-même, de façon obsessionnelle. Une nouvelle attente de dix ans sépare ce roman du Moment d'inertie, en 1993, et de La Trinité Harmelin, en 1994. De l'anti-héros brossé dans le premier aux réminiscences de l'ancien Congo où l'action du second est située, dans un contexte de sensualité exacerbée, Linze accentue l'atmosphère de huis clos. Il confirme ainsi de livre en livre un climat où la conclusion tragique de la vie est omniprésente, et la valeur d'une œuvre qui s'inscrit parmi les plus importantes de notre époque. Jacques-Gérard Linze est mort le 11 mai 1997. Il avait été élu à l'Académie royale de langue et de littérature françaises le 14 février 1987.
    Marie Gevers

    Autrice de Aux Pays du Fleuve et des Grands Lacs. Tome I.

    C'est à Edegem, près d'Anvers, au bord de l'Escaut, que Marie Gevers voit le jour le 30 décembre 1883, dans le domaine de Missembourg, vaste paradis de verdure devenu mythique dans l'histoire de notre littérature. Marie est la dernière enfant d'une famille dans laquelle cinq frères l'ont précédée. Son père est retiré des affaires (il a fait prospérer la raffinerie paternelle), il s'adonne à la météorologie, à la chasse et à la lecture. L'enfant n'ira jamais à l'école, excepté pour suivre les cours de catéchisme, qui se donnent en flamand. Elle reçoit des cours particuliers de sa mère qui l'initie à l'histoire, à la géographie et à la littérature. Les dictées quotidiennes tirées du Télémaque de Fénelon servent à l'apprentissage de la langue française; un instituteur est chargé des leçons de calcul. Le domaine de Missembourg, sa grande maison, son étang (la présence de l'eau dans son œuvre est un thème fréquent), son jardin bercent le cadre d'une enfance émerveillée. Marie est passionnée de lecture; à l'âge de cinq ans, elle découvre la poésie de Lamartine grâce à son frère Charles. Elle dévore tous les ouvrages qui lui tombent sous la main, de la comtesse de Ségur à l'astronomie, des récits du Magasin pittoresque à la botanique, de Montaigne à Maeterlinck, dont les Serres chaudes la plongent avec ravissement dans l'atmosphère feutrée d'une poésie ouverte au mystère et au rêve. En 1900, elle tombe gravement malade (une fièvre typhoïde). Après une longue convalescence, elle effectue son premier séjour à l'étranger : la descente du Rhin. Marie Gevers écrit des vers, rencontre Verhaeren, qui l'encourage et la conseille; elle fait de nombreux séjours dans la demeure du poète à Saint-Cloud. En 1904, elle fait la connaissance de Frans Willems qui, après des études de droit, travaille à Anvers dans une lustrerie. Elle l'épouse en 1907 et le couple s'installe à Missembourg. Trois enfants naîtront de cette union; parmi eux, le futur écrivain Paul Willems. La jeune femme s'adonne à l'écriture et après quelques pièces lyriques parues dans Durendal, cinq poèmes, Chansons pour mon merveilleux petit enfant, sont publiés par le Mercure de France en 1913. Pendant la première guerre mondiale, son mari est appelé dans un service sanitaire en Angleterre; la séparation est douloureuse. Grâce à l'aide de Max Elskamp auquel elle rend visite régulièrement à Anvers et qui l'introduit chez son propre éditeur, elle publie son premier recueil de poèmes, orné d'un bois d'Elskamp. Il porte tout naturellement le titre de Missembourg (1917). Avant son décès accidentel, Verhaeren avait lu ces textes et les avaient appréciés. Pour rendre compte de l'œuvre de Marie Gevers, deux approches sont possibles. L'une, chronologique, se révèle aride pour une lecture qui doit avant tout être sensible; la seconde doit tenir compte des thèmes fondamentaux qui traversent un monde où l'éblouissement face à la nature et aux êtres est constant. Marie Gevers est une femme dont l'instinct est de vivre en harmonie avec elle-même et avec la vie. Bien qu'elle n'ait presque jamais quitté Missembourg, en dehors de quelques voyages au Ruanda et au Congo belge pour rendre visite à sa fille – elle racontera ses impressions dans Des mille collines aux neuf volcans (1953) et dans Plaisir des parallèles (1958) –, elle est en connivence avec le temps et avec l'espace. Elle s'efforcera toujours de transcender sa vérité personnelle pour aller à la rencontre des Paravérités (titre d'un ouvrage paru en 1968) qui donnent accès à l'onirisme ou à l'intimité des objets et des hommes. L'harmonie et la sérénité qui se dégagent de sa production sont à l'image de sa personnalité, accueillante et généreuse. Une grande part autobiographique est décelable dans les livres de Marie Gevers. Épouse et mère, elle se voue entièrement à sa famille. Pour les poèmes d'Antoinette dédiés à sa fille (1925), elle reçoit le prix Eugène Schmitz de l'Académie. Mais la poésie la tente de moins en moins. Elle a près de quarante ans lorsqu'elle publie son premier recueil de récits traversés de souvenirs d'enfance, Ceux qui reviennent (1922); elle approche de la cinquantaine quand parait son premier roman, La Comtesse des digues (1931), dans lequel elle exalte l'Escaut et son amour de l'eau. Introduite dans les réunions littéraires, Marie Gevers fascine par ses qualités de cœur. Avant la première guerre mondiale, elle écrit Madame Orpha ou la Sérénade de mai (1933), où elle raconte les sensations d'une petite fille qui découvre la nature, Guldentop, histoire d'un fantôme (Prix populiste 1934), roman qui retouche les récits de 1922 et met en évidence le cycle des saisons, Plaisir des météores (1938), qui amplifie le même thème. Elle collabore à plusieurs journaux et revues, elle traduit des ouvrages flamands avec l'aide de son mari. La seconde guerre mondiale est une période douloureuse pour Marie Gevers : l'un de ses fils, médecin, est tué dans le bombardement de Malines en 1944; quelques mois plus tard, en janvier 1945, Frans Willems meurt. C'est toutefois pendant les hostilités qu'elle publie Paix sur les champs (1941), ouvrage qui dévoile un autre aspect de son œuvre, déjà esquissé dans La Ligne de vie (1937); elle se penche ici sur les paysans de la Campine dans un récit plein de passions contrastées, dont les héros sont si proches de la terre qu'ils font corps avec elle. Le reste de l'existence de Marie Gevers est voué à Missembourg, aux siens et à l'écriture. Elle publie régulièrement. Ses livres sont centrés sur des intérêts sans cesse renouvelés : l'enfance, la perte des êtres proches, l'amour, l'eau, le rythme des saisons, les plantes et les fleurs. De Château de l'Ouest (1948) à Vie et mort d'un étang (1961), considéré comme son chef-d'œuvre – il contient à lui seul tous les thèmes qui lui sont chers – comme dans Parabotanique (1964), son inspiration oscille entre sa poésie intime et celle qu'elle rencontre dans tous les moments de la vie. Le Prix quinquennal de littérature lui est octroyé en 1960. Comblée d'honneurs, respectée de tous, elle meurt dans son sommeil le 9 mars 1975. Elle avait été élue à l'Académie le 9 avril 1938.
    Henri Cornelus

    Auteur de Aux Pays du Fleuve et des Grands Lacs. Tome I.

    Henri Cornélus naît à Vilvorde le 22 juin 1913. Ses images d'enfance sont ce qu'il appelle "des souvenirs de prison" (il est orphelin de père, et en lutte ouverte et constante avec sa mère).1931-1937 : Etudes de philologie romane à l'ULB. Pour pouvoir se payer ces études, il doit, selon ses propres termes, «accomplir mille petits métiers aussi monotones que peu rémunérateurs». Service militaire.1937-1945 : Professeur de français à l'Athénée Royal de Berchem-Anvers, puis (à partir de 1944) à l'Athénée de Bruxelles. Membre du mouvement de Résistance des professeurs. En 1938, il avait publié sa première nouvelle, dans la revue Marianne.1946 : Nommé Inspecteur de l'Enseignement dans la Province de l'Equateur (Congo belge).1947 : A la suite d'un rapport sur les mauvais traitements infligés, dans une école religieuse, à des enfants noirs, il voit sa carrière scandaleusement brisée par la "haute administration", qui invente des "raisons de santé" pour l'éloigner définitivement de son action pédagogique et humanitaire. Retour, comme simple professeur, à l'Athénée Royal de Bruxelles.Il publie alors Le vin de rage, recueil au titre évocateur de son état d'esprit du moment.Kufa, premier roman. Récit partiellement autobiographique, qui nous décrit les heurs et malheurs d'un jeune avocat belge idéaliste qui connaîtra, au Congo, un destin tragique. Le livre vaudra, on s'en doute, de nombreux ennemis à Henri Cornélus, mais aussi de solides appuis qui vaincront la conspiration du silence, tels ceux de Gustave Charlier ou d'Albert Ayguesparse qui salue dans Kufa une admirable leçon de vie et une manière de grandeur qu'on ne rencontre pas souvent dans les romans d'aujourd'hui.1958 : Cornélus est nommé maître de stage à l'ULB et lecteur de langue française à la même Université (secteur néerlandais).1960 : Epoque d'activités intenses : voyages, conférences aux quatre coins du monde, écriture, participation à de nombreux jurys, aux travaux du Groupe du roman et à ceux du Fonds national de la littérature.1981 : Nommé membre du Centre francophone belge de l'Association internationale des Critiques littéraires. L'Académie Royale de langue et de littérature françaises de Belgique lui octroie le Prix Malpertuis, qui couronne l'ensemble de son œuvre poétique. 26 octobre 1983 : décès d'Henri Cornélus, à Bruxelles. Les œuvres d'Henri Cornélus ont été traduites en néerlandais, espagnol, hongrois, russe, japonais, portugais, irlandais, hébreu, roumain, tchèque. Polyglotte, il a lui-même traduit en français des œuvres espagnoles, allemandes et néerlandaises.

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