Au croisement entre réflexion théorique et enjeux concrets

Ouvrir avec ce premier numéro axé sur la marche augure bien de notre projet.

En effet, notre ambition est à la fois d’aborder des thématiques qui correspondent à des enjeux concrets – pensons au plan piéton adopté par le gouvernement régional bruxellois en mai 2012 – tout en prenant le recul nécessaire à une analyse globale.

Notre premier dossier thématique Mélange les genres et les disciplines de l’antiquité à nos jours, à travers des articles scientifiques et des articles universitaires destinés à être lus par un public large, hors du monde académique.

Ceux-ci s’accompagnent d’autres réflexions propres au champ architectural et urbain opérationnel, telle cette évaluation des aménagements urbains entrepris à Lyon durant la dernière décennie. Les articles interrogent les formes urbaines et architecturales qui entourent ceux qui marchent: les portiques le long des rues antiques ou aux abords des temples évoquent la forme archétypale de la…

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Aspects inconnus et méconnus de la contrefaçon en Belgique

À propos du livre La contrefaçon belge des livres à l'époque romantique est quasiment inconnue. Née au lendemain de la séparation de la Belgique d'avec la France et de son rattachement à la Hollande, poursuivie après l'indépendance belge conquise à la suite de la révolution de 1830, cette industrie colossale, parfaitement licite en raison des législations nationales et internationales d'alors, eut à son actif, sans que leurs auteurs ou leurs ayants droit pussent s'y opposer, la reproduction, la traduction, l'adaptation des ouvrages étrangers, principalement français, qu'ils fussent littéraires, religieux, scientifiques, artistiques, politiques, historiques, militaires, musicaux, ou qu'ils traitassent de cuisine, de jeux de société, de typographie, d'archéologie, etc. Ce sont toutes les facettes de la «contrefaçon» belge que recense ce livre, divisé en une introduction, vingt chapitres abondamment illustrés de catalogues et de textes publicitaires d'époque, et trois annexes. Compte tenu de l'importance capitale du sujet, cet ouvrage interpellera tant le monde de la librairie que celui des bibliophiles, des bibliographes, des philologues, des économistes, des juristes, des scientifiques, des sociologues, des chercheurs, enfin : de tous ceux qui, de près ou de loin, érudits ou néophytes, s'intéressent au romantisme et à la Belgique de 1814 à 1855, lorsque ses éditions, souvent très soignées et vendues à des prix défiant toute concurrence, étaient répandues dans le monde entier et y propageaient les langues étrangères, au premier rang desquelles figure le français. L'auteur étudie depuis 1973 cet inépuisable et passionnant sujet, auquel il a déjà consacré dans le Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises trois études. Son livre, le premier à traiter de façon globale de la contrefaçon belge, est la somme de ces années…