Daniel Hubert a appris le patois très jeune grâce à sa grand-mère et à son grand-père qui, tous les deux, vivaient avec la famille.Dans ce troisième volume, il évoque son village, l’époque où on abat le cochon, ou encore un loisir…
(*)qu'importent nos motsils roulent pêle-mêledans le grondement des lamesvenues…
Poèmes en vers libres, d'une sensualité et d'une intensité surprenantes. Formule d'édition originale, imprimé blanc sur noir.