Dans ce deuxième volume, Crickillon poursuit son ode à la femme aimée, ses réflexions sur la fonction de la poésie, son chant du désir.
« Que chaque mot soit un miracle en soi. Tu parles d’un pari. Et voilà, c’est déjà perdu. Reste la lune, qui ce soir est pas mal pleine, les arbres qui ploient sous la neige de pleine lune ce soir et pour toute la nuit évidemment. Restent ceux qui se morfondent du psy en attendant : le jour, le jour, cadavre un jour. Reste la famille hérisson qui dort…
Un ensemble de sonatines aigres, douces, amères, ordinaires, pour apprenti raisonnablement…
« La poésie est comme la philosophie – ou devrait au moins faire comme elle,…