Théophile de Giraud

PRÉSENTATION
Né, par hasard et sans conviction, à Namur en 1968. En 3ème Maternelle, projet, avorté, faute de combustible, mais redoutablement sérieux, de pulvériser l’établissement scolaire selon les lois de la dynamite. Enfance passée dans une famille exceptionnellement douée pour le dégoûter de la famille. A 15 ans, caresse un instant l’idée de devenir serial-killer, puis se ravise, moins par sagesse que par timidité. Quelques inscriptions universitaires mais, vite écoeuré par le professionnalisme ambiant et syllabussophobe incurable, préférera se livrer au vice de l’autodidactisme dans la plupart des branches du savoir susceptibles de faire de l’homme autre chose qu’un animal-machine. Suicidaire et récidiviste chronique entre 18 et 20 ans. De 20 à 28 ans, étude/lecture/écriture en anachorète grognon et méticuleux. Abondants voyages en terres celtes et scandinaves, loin des héliacités classico-dociles. En 2000, auto-édition de « De l’Impertinence de Procréer » qu’André Blavier aura la bienveillance de répertorier dans ses « Fous Littéraires ». En 2004, publication de « Cent Haïkus » nécromantiques » aux éditions Galopin (Spa). Père de très peu d’enfants. Inadapté méthodique. Insomniaque notoire. Sexualité : fantaisiste.

BIBLIOGRAPHIE


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

Acteur important de l’antinatalisme, Théophile de Giraud consacre un essai court et percutant à un trait du christianisme officiel passé sous silence, à savoir son antinatalisme. Partant du tour de passe-passe par lequel l’Église en est venue à promouvoir la fécondité, il analyse le message anti-procréation de Jésus et le phénomène de retournement radical auquel ce message a été soumis. Comment la papauté, le catholicisme en sont-ils venus à encourager les naissances, à interdire l’avortement, la contraception alors que le christianisme des origines prône l’ascétisme, la virginité, le célibat ?Appuyant sa démonstration sur des passages tirés des Évangiles, du Nouveau Testament et des textes des Pères de l’Église, Théophile de Giraud dénonce « la falsification…