Mieux vaut en pleurire


RÉSUMÉ

L’écriture de Timotéo Sergoï ne ressemble à aucune autre, sauf peut-être un peu à celle de Jean-Pierre Verheggen : même sens de l’inventivité, même gouaille, même énergie.
Mais l’essentiel chez Sergoï, c’est l’enchantement de sa voix. Un enchantement permanent. Humour, dérision, foisonnement d’images, tout est là pour le plus grand plaisir du lecteur.
Gourmandise des mots, léchés, recréés, tordus jusqu’au rire.
Et derrière cette exubérance, les réalités du monde, de la vie, de la mort, de la nature à l’agonie.
Tantôt en révolté, tantôt fataliste, le poète n’est jamais indifférent.

Sur le fil de l’écriture, le poète est funambule

Nous retenons notre souffle, enchantés, conquis et nous le suivons les yeux fermés… enfin, non, les yeux grands ouverts, et avec comme une autre joie dans la tête.




AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Mieux vaut en pleurire"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9176 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Ferveur du soir

Rien dans cette longue confidence qui ne soit placé sous le signe de l'amour. Il y a d'abord celui…

En venir au point

Poèmes de Paul Mathieu avec des illustrations de Jean Morette 1. Le train électrique revenu de l'enfance…

Le miel des peurs

Recueil de poèmes qui tentent de retirer une jouissance de la vie donnée par la mort, de la vie qui…