« ‘Pour suivre Jésus, le Christ, rejetez-vous Satan ?’ Satan ! Au vingt et unième siècle ! Donc l’Église admettait toujours l’existence du Diable. Pourquoi nous cachait-on cela ? » Ainsi s’insurge la narratrice, une quadra banale, épouse et mère quelconque, lors d’une cérémonie religieuse prononcée au cours d’une fête familiale. C’est que cette liturgie aux accents d’exorcisme revêt pour elle les atours d’une réelle salvation, un arrachement à « l’autre » qu’elle invoquera corps et âme dans sa descente aux enfers. Qui l’y propulse ? Lui, l’autre, le « Prince de ce monde », le mal en personne, celui qui la séduira, l’obnubilera, la fascinera, la possédera, la détruira…Dans…
Dans le décor hallucinant d'une guerre qui les déchire, deux familles, l'une des Cantons de l'Est et…
On le sait, un deuxième roman est une étape aussi cruciale qu’ardue pour les écrivain-e-s. Mehtap Teke…
Un texte posthume comme un ultime inventaire évoquant notamment la mort imminente et l'amour…