Grand ciel


RÉSUMÉ

Tchip ne sait pas voler, il a peur du vide ! Son ami Kroak, orphelin, se moque souvent de lui à ce propos.
Alors que l’heure de leur première migration approche, leur arbre « Petit ciel » se fait attaquer par un chat. Le doyen Brouw se casse une aile lors de cet incident. Le groupe d’oiseaux résidant sur Petit ciel décide d’entamer le voyage de migration vers « Grand ciel » en laissant Brouw et Tchip derrière eux.
On suit les deux amis dans leur périple pour rejoindre le groupe. Un obstacle se dresse cependant sur leur chemin : la grande ville. Ils y rencontrent par hasard la mère de Kroak qui désespère de ne jamais revoir son petit. Tchip et Brouw la rassurent et ils reprennent la route tous les trois.

Voler quand on a peur du vide ? Impossible ! À moins de savoir sur qui compter.

– Une histoire attendrissante d’entraide pour apprendre à vaincre ses peurs et à accepter de demander de l’aide à son entourage.
– Une histoire accompagnée de chansons (disponibles sur soundcloud, chantées par l’auteur).




À PROPOS DES AUTEURS
Salomé Borbé
Illustratrice de Grand ciel

Autrice et illustratrice

Née le 30 mars 1994 à Rocourt

Bachelier en Illustration, Saint-Luc, Liège Master en Editions, Saint-Luc, Liège Formation de chef d'entreprise en fleuristerie, IFAPME, Liège

Avec humour et tendresse, je cherche à partager à travers mes dessins ma passion pour le monde végétal, la danse et les petits bonheurs du quotidien. De la figuration à l'abstraction, de la peinture vive et spontanée aux collages de papiers structurés, je m'émerveille de tout et de rien. Tout devient prétexte à l'évasion et à l'émotion. Mon univers se compose de bric et de broc, de petites choses glanées de-ci de-là, de cailloux et de feuilles collectées sur mon chemin avec lesquelles je compose des images et des histoires.

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Vent d’hiver. Petites histoires pour réchauffer les jours froids

Quelle que soit sa rigueur, on le trouve toujours trop long, trop froid, trop déprimant. L’hiver suscite peu notre enthousiasme : on peste lorsqu’il s’installe et on ne le célèbre que quand il disparaît. On tente même de le chasser à coup de carnavals, de le mater à force de proverbes, c’est dire ! La neige et ses jolis flocons n’emportent pas notre adhésion non plus. Certes, on s’en réjoui durant une séance de luge, elle intrigue par son atmosphère magiquement ouatée, on la contemple bien au chaud  derrière une fenêtre, mais elle nous hérisse sous les pneus, nous désole en flaques boueuses, nous brûle par ses gerçures. Décidément, l’hiver est la mal aimée de nos saisons. Ce qui est assez injuste pour lui car «  [il] est comme tout le monde. / Il n’aime pas le froid. / Mais c’est son boulot, voilà. / À l’école, il voulait faire printemps, / mais c’est un métier plutôt rare  ». De plus, «  [d]es quatre saisons, l’hiver est celle qui raconte le plus d’histoires. / Ce sont les mois où on a envie de se serrer les uns contre les autres. C’est sans doute une explication  ». Cela paraît un prétexte parfait pour Carl Norac qui nous offre à envisager ce temps de ralentissement, de calme et de préparation, à la lorgnette d’historiettes amusantes, inattendues et poétiques. Dans Vent d’hiver , on croise notamment une maman aux joues goûts framboise et fraise, des Finlandais aux fesses bleues, un bonnet réceptacle de pensées, un skieur en habit d’ours, un bonhomme de neige affreusement maussade. Et le plus attachant d’entre tous ces personnages parfois farfelus est monsieur-madame (selon les pages) Hiver, un être solitaire, rêveur, résigné, facétieux et amusé : «  On dit que l’hiver est triste, mais on se trompe. Il rigole beaucoup. Par exemple, si vous allez près d’un étang gelé, souvent vous entendez un craquement. Craquement, c’est seulement quand l’hiver a trop envie de rire. Il craque de rire. Il s’éclate.  » Qui l’eût cru ? Comme de coutume, la prose, rêveusement décalée, tout à fait personnelle, de Norac chatouille l’esprit du lecteur, petit ou grand.La découverte de ce livre se niche sans doute dans les dessins de la Gantoise Gerda Dendooven. Le public francophone la connaît (peut-être) un peu moins, alors qu’elle est une mine admirable du paysage graphique flamand, en ébullition hallucinante. Le trait de Gerda souffle comme le vent hivernal : de façon saisissante, un peu piquante, brute. À l’aide d’une palette réduite (essentiellement, du bleu, du blanc, du rouge), elle crée un univers vif, un brin désuet (elle aurait pu illustrer La semaine de Suzette ou un almanach du début du 20e siècle), très évocateur tout en s’inscrivant en résonnance avec une tradition flamande affirmée (planent les ombres indistinctes des Breughel, des Permeke et autres Masereel). Quelle joie pour nous que le Poète national de Belgique / Dichter des Vaderlands multiplie ces collaborations sans-frontières ( Vent d’hiver est déjà le treizième de ses opus illustrés par un talent du Nord) ! À présent, nous avons le cœur à chanter : « Oh ! Vive le vent, vive le vent… » Samia Hammami Au travers de courts textes poétiques, tour à tour drôles ou oniriques, l'auteur raconte les aventures de personnages représentant des saisons autour du thème central de la période hivernale. Ce livre rassemble de petits textes poétiques, tour à tour drôles ou oniriques, sur l’hiver. Le mariage puis le divorce de Madame Hiver et de Monsieur Printemps, les péripéties d’un bonhomme de neige au mauvais caractère, un hiver peu pressé de laisser sa place, l’invention du rhume… autant d’aventures qui parlent de saisons, de neige, de froid… à se raconter au coin du feu ! Car comme le dit l‘auteur dans une…

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