Réédition de deux livres publiés précédemment. Dans “Autobiographie”, le lecteur est entraîné par le rythme, ses sursauts et ses plages de calme apparent, se trouve pris dans un flux où la détresse, l’homosexualité, la hargne, le dégoût de vivre et les images d’un bonheur fuyant composent une fresque narrative d’une rare puissance d’évocation.
Il en est de même avec le “Conrad Detrez”, thrène ou tombeau – à la manière de la “Délie” de Maurice Scève – où Cliff…
(*)qu'importent nos motsils roulent pêle-mêledans le grondement des lamesvenues…