Dave Decat se souvient de la fascination qu’il éprouvait, enfant, devant les tableaux où coulait le sang des martyrs. Comme sa mémoire est redoutable, il se souvient de beaucoup de choses qui ont constitué sa sensibilité, depuis l’adolescence, en suivant ce qu’il appelle « les diagonales de la fatalité » : les bandes dessinées de Moebius, Druillet et, surtout, Tardi, les magazines tels que Le Crapouillot, L’Assiette au beurre ou Détective, l’heroïc fantasy, le hard rock et le heavy metal, quelques livres comme Le Bagne, d’Albert Londres, Biribi, de Georges Darien ou Les Pégriots, d’Auguste Le Breton…Autant de strates d’un imaginaire qui trouve son origine dans la…
Omer Marchal ne se lassait jamais de raconter l'Ardenne. La rencontre de sa plume avec le pinceau de Lucien Maringer , qui ne cessa de la peindre durant 50 ans et dont il fut l'ami et le confident, nous…
Yseut s'apprête à jouer son nouveau spectacle, réalisé à partir d'un long poème écrit par…