Dave Decat se souvient de la fascination qu’il éprouvait, enfant, devant les tableaux où coulait le sang des martyrs. Comme sa mémoire est redoutable, il se souvient de beaucoup de choses qui ont constitué sa sensibilité, depuis l’adolescence, en suivant ce qu’il appelle « les diagonales de la fatalité » : les bandes dessinées de Moebius, Druillet et, surtout, Tardi, les magazines tels que Le Crapouillot, L’Assiette au beurre ou Détective, l’heroïc fantasy, le hard rock et le heavy metal, quelques livres comme Le Bagne, d’Albert Londres, Biribi, de Georges Darien ou Les Pégriots, d’Auguste Le Breton…Autant de strates d’un imaginaire qui trouve son origine dans la…
C'est l'heure de la sieste et Ariane joue dans le jardin avec ses animaux en peluche. Tout à coup ils…
La situation des réfugiés du Camp Sud n'est guère brillante. Forcés de fuir une Europe dévastée…
Un conte de Noël dans la tradition de Dickens. C'est l'hiver, il neige, et le pauvre loup a faim. Alors il croque, croque tout…