Vingt ans en 1914

À PROPOS DE L'AUTEUR
Georges Linze

Auteur de Vingt ans en 1914

Poème du miracle d'exister, Poème de la magie de mon siècle, Poème de la paix incroyable, Poème de la grande invention, Poème d'aujourd'hui ou des délices du changement. Les titres de quelques recueils de poèsie de Georges Linze sont révélateurs de ses préoccupations d'écrivain.Poète, mais aussi romancier, animateur, auteur de manifestes et de récits, Georges Linze est un homme absolument optimiste qui exalte les grandes valeurs et les découvertes du monde moderne. Ses textes ont été traduits dans de nombreuses langues, sans doute parce qu'ils parlent au coeur des gens comme dans une langue simple et directe qui touche B l'essentiel.Né à Liège le 12 mars 1900, Georges Linze a été instituteur et chef d'école. Il a fondé le Groupe d'Art Moderne de Liège et la revue futuriste Anthologie (1920-1940) qui a connu un succès international. Animateur infatigable. Amitiés avec de nombreux peintres, sculpteurs, musiciens, et... écrivains, bien entendu.Amoureux de la moto : a parcouru l'Europe, l'Afrique et l'Asie sur cet engin. Activité dans la résistance durant la deuxième guerre mondiale. Epoux de Fernande Descamps, qui a partagé sa vie et ses passions pendant de très nombreuses années. Vice-Président de l'Association des Ecrivains belges. Membre correspondant de l'Académie luxembourgeoise. Membre titulaire de l'Académie internationale de Culture française. Georges Linze est décédé le 28 janvier 1993 à Liège.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Vingt ans en 1914"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

L'élève Ducobu Vol 4. La lutte des classes

La vie à l'école n'est pas un long fleuve tranquille. Pour certains, l'année scolaire est même plutôt celle de tous les dangers.La vie à l'école n'est pas un long…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…

Borabord

Il avait fait un costume comme il l’entendait. Mais ce n’était pas le point de vue du client. Le costume…