Le poète invente ce qu’il devine. Avec son sang et sa moelle, il crée un monde dont la lumière l’éblouit et dont le mystère le possède. Seul sur une place vide, il appelle les absents. Les mots qui s’échappent de sa gorge, sont les mots de tous, mais il arrive qu’aucun ne les entende. Comme un fou, il continue à monologuer, attendant ce rare et merveilleux moment où son chant se confondra avec la voix intérieure d’un passant.
Auteur de Une rose pour dix épines
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