Une girafe sur le toit du monde

À PROPOS DE L'AUTRICE
Sophie Daxhelet

Autrice et illustratrice de Une girafe sur le toit du monde

Née le 6 décembre 1981 à Huy

Licence en histoire de l'art - Art contemporain, ULB, Bruxelles Licence en illustration, Académie royale des Beaux-Arts, Bruxelles

Les moustaches du Douanier Rousseau, l'univers du cirque de Fernand Léger et de Calder font partie de mes sources d'inspiration. Les photographies anciennes, les objets du quotidien, les mots et leur sonorité constituent le fil conducteur de mes histoires. Ensuite, vient le dessin au fusain, outil qui permet un trait franc et souple à la fois, associé à des couleurs en aplats. Récits et images sont mis en musique pour créer un monde ludique et fantasque. Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Découverte, 2010 Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2015
NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Avec ses belles taches noires et son regard méditatif, la girafe semble à l’étroit dans la mince page longue. Elle rêve d’Anapurna. Pas facile pour une girafe. Alors, magiquement, surgit une montgolfière pilotée par un Mongol, Sükh, et ils engagent ensemble un voyage dans l’air, dans l’eau et sur terre jusqu’au sommet… Les péripéties sont pleines de fantaisie. Complètement loufoque,…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Une girafe sur le toit du monde"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16281 ) [domains] => Array ( [0] => 9534 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Mon gros escargot

Un énorme escargot est entré dans notre maison. Mes parents m'ayant toujours refusé un chiot, je les ai suppliés de le garder. Il était une fois un gros escargot. Gros taille labrador. De fait, le petit garçon qui le trouve dans sa maison plaide auprès de ses parents pour le garder en tant qu’animal domestique. Il s’appellera Francis. Ce sont alors des jeux au jardin (et des plates-bandes avalées), de la salade pour tous en entrée, une chambre occupée au sol (le lit) et au plafond (le pied de l’escargot)… Le lendemain matin, deux très gros escargots arrivent - taille petite voiture -. Ce sont les parents de Francis. Les deux familles se séparent, sans un mot évidemment. Mais les parents du jeune humain ont réfléchi et offrent alors un chien à leur fils… (on notera que ce teckel est plus petit que l’escargot, d’ailleurs). Tout est dans le dessin. Mais tout est dans l’histoire aussi. Rarement la synergie entre texte et image aura aussi bien fonctionné, sur le mode ici d’un absurde captivant. Racontée avec un flegme absolu, l’intrigue surréaliste est accompagnée brillamment par des illustrations en peinture de type elles hyperréalistes, complètement et faussement sérieuses. Seule la toute fin, espèce de pirouette de vocabulaire, semblera un peu faible. A lire dans un éclat de rire intelligent.…

Pompier, tu dors …

La forêt est en feu, mais impossible de réveiller Pompier, alors Pin-Pon, le courageux…