Torréfaction

RÉSUMÉ
“La langue d’Hugo Fontaine est un parterre sauvage, dont il arrache soigneusement les fleufleurs à fleuristes. Y poussent des herbes rouges, des lichens tordus, des chardons magnifiques, et puis des carnivores, bien sûr des carnivores, parce qu’avant tout, il est question de dévorer les heures. Il en fait des bouquets, Hugo, de grandes brassées hirsutes, baroques, pleines de suc et d’épines, qu’on reçoit à pleines mains – oui, ça pique, mais on le sait : la liberté, l’amour, la poésie, si ça pique pas, c’est mort.”
François Salmon

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