Sous le piano

RÉSUMÉ
Essai sur le pianiste Sviatoslav Richter, sa présence physique et son jeu dans le documentaire que lui a consacré en 1998 B. Monsaingeon, son amour de la musique, son parcours atypique, etc.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Nicole Malinconi

Autrice de Sous le piano

Née en 1946 à Dinant, Nicole Malinconi passera quelques années de son enfance en Italie, où son père, Omero Malinconi est retourné pour ouvrir une fabrique de chaussures. Diplômée de l’École sociale de Namur, elle entame sa vie professionnelle en tant qu’assistante sociale avant de se diriger vers le secteur culturel. Elle revient ensuite à son premier métier à la Maternité provinciale de Namur où elle rencontre Willy Peers, médecin engagé pour le droit à l’interruption volontaire de grossesse. De cette expérience naît Hôpital silence, son premier roman, publié aux Éditions de Minuit et salué par Marguerite Duras, dont l’influence se fait alors sentir. S’en suivront L’Attente puis Nous Deux (qui obtiendra le Prix Rossel), Da Solo et À l’étranger (nominé au Prix des Lycéens de Belgique en 2005). Cette fois, c’est dans la matière familiale que l’autrice puise ses sources d’inspiration. Entre-temps, Hôpital silence et L’Attente (publié en 1989) sont réédités chez Espace Nord. Elles est mis en scène et joué au théâtre des Bateliers à Namur, au Centre Wallonie-Bruxelles à Paris puis au Rideau de Bruxelles. En 1996, Nicole Malinconi reçoit une bourse d’écriture de la Communauté française de Belgique, une deuxième bourse lui sera octroyée en 2001. En 1998, Rien ou presque, publié en 1997, reçoit le Prix triennal de la ville de Tournai, un an après avoir reçu le Prix Lucien Malpertuis de l’Académie royale de Langue et de Littérature françaises à Bruxelles. En 2006, le Petit Abécédaire des mots détournés paraît aux éditions Labor et obtient le Prix France-Belgique de l’ADELF en 2007. En 2014, Nicole Malinconi participe à la Chaire de Poétique de l’UCL. L’autrice écrit également à partir de vagues souvenirs : des instants, des visages, des lieux qui sont restés en elle et qu’elle définit elle-même comme « des instants fugitifs, des épisodes ordinaires que l’on oublie ». Elle rédige donc des « brèves » qu’elle rassemble parfois en recueils. Ainsi sont nés Rien ou presque, Jardin public et Portraits.

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