Wéris, Habay-la-Vieille, La Roche, Saint-Hubert, Lahérie, Mirwart… Six évocations historiques de « la belle province », six nouvelles à la mémoire des pierres.À travers le destin imaginaire de femmes d’hier et d’aujourd’hui, l’auteur souhaite rendre hommage à cette terre d’élection qu’elle a découverte il y a trente ans, et n’a cessé d’aimer depuis.Trempée dans l’encre du coeur et le souffle de l’Histoire, sa plume épouse…
Auteur de Si les pierres d'Ardenne m'étaient contées
Humanités Greco-latines (Institut de la Vierge Fidèle à Bruxelles).
Graduat en Secrétariat de Direction (ECSEDI) avec grande distinction.
Cycle de 3 ans d'approfondissement de la foi (Salésiennes de Don Bosco).
Après avoir exercé des activités professionnelles au sein du monde bancaire et de la publicité, elle occupe actuellement des fonctions actives au sein de plusieurs associations, comme :
Secrétaire-trésorière de l'a.s.b.l. "Les Amis de l'Académie de Musique de Woluwe-Saint-Pierre". Choriste-soprano et trésorière du Choeur Sammartini.
Secrétaire-trésorière de "l'Association Familiale de Donnea".
Vice-Présidente et Rédactrice en chef des Cahiers de la Fédération des Associations de Famille (F.A.F.).
Secrétaire-trésorière de l'association "Les Amis du Château de Mirwart".
Ecrivain, membre de l'Association des Ecrivains Belges de langue française (A.E.B.).
Membre du jury du Prix littéraire du Cercle Royal Gaulois (Prix de la Biographie).
Membre du Grenier Jane Tony.
Répertoire de l'Association des Ecrivains Belges de Langue Française.
Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête
Pour découvrir l'oeuvre d'Erik Satie à travers une histoire et des extraits des plus célèbres pièces du compositeur. Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une araignée au plafond mais juste un petit piano que Monsieur Satie a dans la tête. Les notes de musique y trottent, y vagabondent sans relâche. Il est audacieux, anticonformiste, se moque du wagnérisme et des vaniteux. De son cœur s’échappent des mélodies simples pour rêveurs et poètes, un public qui lui ressemble. « Monsieur Satie parle parfois à la lune. » Et parfois aussi, « Monsieur Satie met son smoking pour écrire une partition. » Il compose, explore, mélange les genres au risque d’être méprisé. Certains l’admirent cependant, comme Cocteau ou Picasso. L’illustratrice Elodie Nouhen évoque bien l’esprit des surréalistes et la solitude du petit monsieur perdu dans le tourbillon des notes. Touches de piano, métronome, partitions…sont surdimensionnés par rapport au musicien qui ne semble pas plus haut que trois chapeaux. Ce que Raymond Lulle appelait « la tristesse par surabondance de pensée » s’applique…