Matthieu Donck est un scénariste et réalisateur belge.
Court métrage – Short film
Rustine, 9 min - 2004
Ripaille sous le paillasson, 14min – 2005
Missing, 15 min – 2007
Partouze 20 min – 2013
Les Tubes 20 min – 2016 (co-réalisé avec Xavier Seron)
Long métrage – Feature film
Torpédo, 90 min – 2012
Parasol, de Valery Rosier 80 min – 2016 (collaboration au scénario)
Mon Ket, de François Damiens (collaboration au scénario)
Série – TV serie
La Trêve, (10x52min) – 2016
La Trêve 2 (10x52min) – (en écriture)
Bande dessinée - Comics
Shrimp, Le Grand Large – Dargaud. 2012
Shrimp, La couleur de l’éternité – Dargaud. 2012
Né à Bruxelles en 1979. Études de journalisme puis d’analyse et d’écriture de scénario (ELICIT), Université Libre de Bruxelles.
Touche-à-tout, il participe depuis lors à différents projets cinématographiques et télévisuels en tant que scénariste, assistant réalisateur, monteur… En parallèle il collabore à un webzine francophone en tant que critique de cinéma et anime un atelier de montage audiovisuel. En 2006, il réalise Mur son premier court-métrage de cinéma qui fait le tour du monde des festivals et obtient de nombreux prix. En 2010, il réalise Point de fuite, un second court-métrage. Il entamera début 2012 le tournage d’un long-métrage documentaire La nuit qu’on suppose.
Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…
Les Schtroumpfs, T.28 La grande Schtroumpfette
La Schtroumpfette a la sensation que si tout le monde l'adore, elle n'est en revanche pas prise au sérieux. Pour lui donner l'occasion de s'affirmer,…