Quand les ânes de la colline sont devenus barbus




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Le Carnet et les Instants

Depuis un peu plus d’un an, le paysage littéraire belge s’est enrichi d’une nouvelle maison d’édition, Diagonale, dont la particularité est de se consacrer à la publication de premiers romans et au lancement de jeunes auteurs prometteurs. Le nouveau venu dans cette belle et remarquable entreprise se nomme John Henry. Il nous propose Quand les ânes de la colline sont devenus barbus, un roman grave et sincère, aux aspects poignants, qui parle d’identité et de sacrifice, de rêve et de douleur, qui parle de la folie des hommes. Un roman bien d’actualité surtout par son évocation de cet islam radical qui nous heurte tant et du terrorisme des barbus barbares exporté jusque chez nous, en Belgique.L’histoire est inspirée de faits…


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" Je sens ses bras autour de ma taille. Il me serre si fort. Je n'ose ouvrir les yeux. La chaleur de sa langue sur la mienne, que c'est doux, que c'est bon. Je profite de ce baiser qui n'en finit pas, de ses mains qui crient tendresse, de ses jambes qui disent caresses, de ce corps qui surgit de l'arbre en chantant l'Amour !". Les sept visages de l'eau, un mariage d'amour et de haine où le passé imprègne le présent et détermine l'amour. FranMi nous emmène à travers une recherche d'identité, d'un rôle social dans une communauté villageoise qui, à l'instar de Saint-Léger, son village d'adoption, présente plein de contradictions. Comment vivre, comment demeurer dans un environnement où les traditions et habitudes anciennes se frottent à la consommation et la vitesse…