Pseudonymes

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jennifer Deneffe

Auteur de Pseudonymes

Auteure belge et originaire de Libramont, Jennifer Deneffe est biographe professionnelle. De ses études de criminologie (candidatures en science politique - ULG - 1998 à 2001 ; licence en criminologie ULG 2001 à 2003) à HEC Liège (master en science de gestion 2004 à 2006), elle s'est toujours intéressée avec avidité à l'esprit humain. Les voyages et la peinture nourrissent son écriture imagée, mêlant intangible et tangible, surréalisme et réalisme. Après avoir travaillé durant quelques années dans le conseil aux entreprises puis, dans le marketing et l'organisation d'événements, elle débute une nouvelle carrière dans l'écriture, en l'espèce, les biographies d'entrepreneurs/personnalités et les histoires d'entreprise. Progressivement, l'écriture romancée et fictionnelle s'impose à elle. https://www.facebook.com/jenniferdeneffe

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Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête

Pour découvrir l'oeuvre d'Erik Satie à travers une histoire et des extraits des plus célèbres pièces du compositeur. Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une araignée au plafond mais juste un petit piano que Monsieur Satie a dans la tête. Les notes de musique y trottent, y vagabondent sans relâche. Il est audacieux, anticonformiste, se moque du wagnérisme et des vaniteux. De son cœur s’échappent des mélodies simples pour rêveurs et poètes, un public qui lui ressemble. « Monsieur Satie parle parfois à la lune. » Et parfois aussi, « Monsieur Satie met son smoking pour écrire une partition. » Il compose, explore, mélange les genres au risque d’être méprisé. Certains l’admirent cependant, comme Cocteau ou Picasso. L’illustratrice Elodie Nouhen évoque bien l’esprit des surréalistes et la solitude du petit monsieur perdu dans le tourbillon des notes. Touches de piano, métronome, partitions…sont surdimensionnés par rapport au musicien qui ne semble pas plus haut que trois chapeaux. Ce que Raymond Lulle appelait « la tristesse par surabondance de pensée » s’applique…