Quatre portraits s’enchevêtrent dans l’écriture et le récit, comme autant de chapitres dans lesquels les personnages se répondent de paragraphes en paragraphes.
En se complétant, les Portraits composent alors une histoire où chacun est en quête d’absolu. Chaque personnage fut un jour à la marge – de sa vie, de la vie des autres –, chaque personnage cherche l’amour ou la reconnaissance pour se construire.
Et l’écriture de Laurent Georjin pose chaque décor et chaque caractère, par petites touches, pour que le tout se compose dans l’imaginaire du lecteur. Les dessins au crayon d’Anne Marie Finné le rejoignent dans cette démarche. À l’image du nuage du titre, dont la fixité n’est jamais acquise, Evangéline, Carmen, Balssen et Ismaël, se mettent en mouvement dans le récit nous laissant quelques traces de leurs histoires.
Poèmes de Paul Mathieu avec des illustrations de Jean Morette 1. Le train électrique revenu de l'enfance…
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…