Attention, un porteur d’eau, ça ne fait pas qu’amener des bidons, hein. Pour bien comprendre le cyclisme, parce que je vois que ce n’est pas toujours très clair pour certains, n’est-ce pas Madame, il faut savoir qu’en vélo, celui qui est DEVANT fait beaucoup plus d’efforts que celui qui est DERRIÈRE.
On dit qu’il « prend le vent », alors que celui qui est DERRIÈRE est à l’abri, dans la roue, ou dans les roues. Donc… on met les leaders le plus longtemps possible DERRIÈRE, et les équipiers, les porteurs d’eau, les mandailles comme on dit en Belgique, DEVANT.
C’est comme le petit cheval blanc de Brassens, vous voyez…
Une jeune femme reçoit en héritage les enseignements de sa grand-mère préférée, Nina,…